Amenan Lou, grand mère d’Arafat répond à sa fille Tina : « tu es à l’origine de la mort de mon petit fils »

Amenan Dandi Lou répond aux accusations de sa fille, Tina Glamour qui l'accuse d'être à l'origine de la mort de son petite fils Dj Arafat.

« Comme on le dit souvent, on peut avoir plusieurs pères, mais la mère est unique, et cette mère, c'est moi, ta mère, Valentine. Comme tu n'as cessé de le dire, Ange Didier, ton fils, est la chair de ta chair. Moi aussi, je suis la chair de ta chair. C'est moi qui t'ai mise au monde et non toi qui m'a mise au monde. Tu as persécutée mon garçon de son vivant, il est mort et tu n'es toujours pas satisfaite ? Si on veut voir, tu as contribué à la mort de Didier. Parce que c'est toi qui as permis que l'ennemi fasse cela.

Tu as décidé de me persécuter comme tu le faisais avec Didier. Si tu n'as pas besoin de moi, ma famille a besoin de moi. Je suis très importante pour mes petits-enfants. Quelles que soient tes persécutions, je ne mourrai pas. Tu as de l'argent maintenant puisque Didier est mort, tu peux t'acheter une autre mère, mais reconnais que tu as contribué à la mort bizarre de ce garçon. Fais-en sorte que ses enfants ne subissent pas ce même sort », a déclaré la grand-mère de DJ Arafat.

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Toujours selon elle, « si tu ne te respectes pas, moi je me respecte. Tu as reçu tous les millions que tu veux, mais calme-toi ! Je ne te réclame rien. Tu le maudissais parce qu'il ne te donnait rien. Tu es mon enfant, qu'est-ce que tu fais pour moi ? Je suis ici, aux États-Unis, et je dépends de mes dix doigts. Personne ne sait où je suis et tu m'exposes partout. Tu as tué mon garçon et tu veux me tuer, tu ne m'auras pas. Je me maîtrise parce que je suis en deuil, pour le respect de la mémoire de mon garçon.

Didier me demande de ne pas pleurer. De grâce, le mal que tu as eu à faire à Didier, il faut t'en repentir. Tu passais ton temps à maudire Didier. Tu as oublié lorsque tu partais faire pipi devant sa résidence ? Tu disais qu'il devait ramper comme un serpent pour te demander pardon, sinon il ne s'en sortira pas dans sa vie. Tu es à l'origine de tout ce qui est arrivé à mon petit fils. Il suffirait tout simplement que je me mette en colère contre toi, me mettre à te maudire et tu périras à la minute comme tu l'as fait à ce petit. Mais je ne le ferai pas ».

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« Je veux te voir, j'ai envie de te voir. Je dis : « mon Dieu ! Tu m'appelles aujourd'hui ? » Il me répond : « mémé, même si je ne t'appelle pas, partout où je suis, tu es avec moi. J'ai eu pas mal de problèmes, mais dès lors que je pense à toi, tu es là partout où je vais. Tes prières m'accompagnent ». J'ai dit à mon petit garçon : « J'ai prévu de venir au pays mais c'est plutôt vers la fin de l'année ou en début d'année.

Il me dit : « mémé, pardon, c'est maintenant que je veux te voir. J'ai besoin de toi près de moi. J'ai trois enfants en , je veux que tu connaisses mes enfants. Ils viendront passer les vacances. Je veux que tu arrives et tu resteras avec moi. Je vais te préparer une chambre. Je te veux auprès de moi » », a-t-elle relaté quasiment en larmes.

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Et Amenan Dandi Lou d'ajouter : « il m'a dit quelque chose qui continue de me faire réfléchir. Il m'a dit : « mémé, mes enfants sont tes arrières petits-enfants. Je veux que tu fasses leurs connaissances, je veux que tu les aimes comme tu m'as aimé. Je veux que tu veilles sur eux comme tu as veillé sur moi. Ils seront informés, on va tout mettre en ordre, on va en discuter pour que tu viennes. Néanmoins, je dois aller à dans le mois de mai. Dès mon retour, je m'occupe de tout et tu vas venir.

Voilà comment on s'est entendus par rapport à ce projet. Il fallait que je me prépare. Donc à partir de fin avril, j'avais arrêté de travailler. Il est revenu de sa mission, il m'a recontactée mais à chaque fois, c'est lui qui reportait. Si j'étais là plus tôt, peut-être que mon garçon serait encore en vie. Quand je partais d'ici, je ne savais pas que je partais enterrer mon petit garçon. J'ai vécu l'enfer, le dimanche 11 août (2019, Ndlr) », a-t-elle confié.

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« J'ai eu une à l'âge de 7 mois, ma fille Antoinette, ma fille Aimée, je l'ai eu à l'âge de 3 ans. Ce sont des enfants, bébés, qui ont décidé de rester avec moi, puis, ensuite, les autres sont arrivés. J'ai élevé et éduqué au total 9 enfants. Ma fille Valentine n'est pas mon seul enfant. Et parmi mes enfants, c'est elle qui m'a toujours posé des problèmes. Je la considère comme la lourde croix de ma vie.

Je ne parle jamais de mes enfants aux gens, même à ma famille, à plus forte raison en public. Après mille réflexions, je n'en peux plus parce que j'ai mal et j'en souffre. Peut-être qu'elle ne voit pas le dégât qu'elle cause à ma santé. Elle fuit la famille et c'est sur les réseaux sociaux qu'elle expose tout », a-t-elle regretté.

Written by Hind Talha

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