Patrick Achi participe aux discussions sur l'avenir des institutions de Bretton Woods. L'ex-Premier Ministre ivoirien a apporté son expertise en tant que conseiller externe.
Patrick Achi a participé aux discussions sur l'avenir des accords de Bretton Woods. Le Premier Ministre ivoirien a pris part à une réunion organisée par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international.
La rencontre s'est tenue à l'occasion du 80e anniversaire des accords de Bretton Woods. Ajay Banga, président de la Banque mondiale, et Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI, ont convié des personnalités mondiales pour cet événement.
Réformes pour l'avenir
Les discussions ont porté sur les réformes nécessaires pour ces institutions. Patrick Achi a déclaré : « Le président de la Banque mondiale, Ajay Banga, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, ont réuni certaines personnalités du monde entier pour discuter des réformes à apporter aux institutions afin de leur permettre de mieux relever les défis des décennies à venir. »
La rédaction vous conseille
- Le golfeur américain Tiger Woods blessé dans un accident de voiture à Los Angeles
- Apres Harvard, Patrick Achi atterrit à la Banque mondiale et au FMI
- Patrick Achi nommé conseiller externe du FMI et de la Banque mondiale
- Présidentielle de 2025 : l'Opposition ivoirienne face aux manœuvres du RHDP
- Etats-Unis : l'ensemble du Capitole est bouclé en raison
L'ex-Premier Ministre ivoirien a exprimé sa gratitude pour sa participation. Il a affirmé : « En tant que conseiller externe, ce fut un honneur et un privilège d'avoir participé à ce moment historique. »
Les derniers articles sur YECLO
- Abobo N'Dotré : Arrestation du chef de gang présumé lors d'une patrouille
- Affaire tontine en ligne : Une arnaque dévoilée par la PLCC en Côte d'Ivoire
- Visite Macron au Maroc fin octobre : Renforcement des relations franco-marocaines
- Éléphants de Côte d'Ivoire : Liste Faé Emerse contre la Sierra Leone
- Prix cacao Côte d'Ivoire campagne 2024-2025 : les producteurs réclament 60 % du prix CAF
