La PLCC interpelle une utilisatrice TikTok pour des directs diffamatoires. L’affaire révèle les dérives du cyberharcèlement dans le showbiz.
La Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) interpelle ZDJ pour cyberharcèlement sur TikTok. L’enquête établit une série de directs contenant des propos diffamatoires envers l’artiste GP.
Le Laboratoire Criminalistique Numérique (LCN) analyse les contenus diffusés. Les enregistrements documentent des attaques répétées, des insultes et des accusations non fondées sur la plateforme.
Les faits documentés
Les directs TikTok de ZDJ contiennent des propos précis : « tchiza », « briseuse de ménage », « prostituée ». Ces diffusions publiques ciblent GP et son entourage personnel.
L’artiste GP dépose une plainte auprès du parquet. Les enquêteurs constatent l’impact des publications sur son activité professionnelle et sa réputation.
La PLCC applique les articles 60 et 61 de la loi 2013-451 du 19 juin 2013. Ces dispositions sanctionnent les atteintes à l’image et les injures sur internet en Côte d’Ivoire.
ZDJ reconnaît les faits lors de son audition. Le parquet engage des poursuites pour cyberharcèlement, atteinte à l’image et injures publiques sur internet.
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