Johnny Patcheko : « avec Ouattara, je suis en sécurité et je ne crains aucune administration judiciaire »

Johnny Patcheko fait part de ses soucis avec l'administration finlandaise. Pour l'ancien GOR devenu RHDP, avec le président Ouattara, il ne craint rien.

Bonsoir chers tous,

Je reviens par cette missive car j'ai finalement l'interprétation que bon nombre de personnes aux caractères irrévérencieux et irascibles (GOR) se faisaient de mon pamphlet. Étant sensiblement interpellé par leur inintelligence et leur ignominie, j'ai décidé de vous écrire une dernière fois sur ce sujet.

En effet en parlant de la profonde injustice que me font vivre certaines administrations finlandaises, en complicité avec des tapis dans l'ombre me voulant pour mort, j'interpelle chacun de nous sur la discrimination du système occidental à notre égard dans cette vie en diaspora, autour de laquelle tout un mythe s'est pourtant créé en , et dont les réalités sur le terrain sont bien souvent très tristes.

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Dans mon texte, j'ai partagé mon expérience personnelle et celle de plusieurs autres Africains vivant en Finlande, pour que cela nous aide à la compréhension et nous serve de leçon. Ceci dit, il ne s'agit pas d'une quelconque question d'argent ou de manque de ressources financières, car s'agissant de moi par exemple, Dieu faisant grâce, j'ai d'excellents revenus fixes par mois, et j'ai même pu acquérir en 2019 un impressionnant bien immobilier ici même en Finlande.

Mais le profond sentiment discriminatoire et d'injustice que nous vivons ici est toujours d'actualité tant qu'il s'agit de nous leur « sous-hommes ». Si pour certains inconscients Africains, c'est le lieu de rire à gorge déployée parce qu'on ne partage pas le même bord politique, pour d'autres, c'est bien un moment de recueillement et de réflexion collective sur notre conditions d'Africains, mieux d'Ivoirien vivant en Occident.

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Et celà à vrai dire me renforce dans mon désir de voir un jour notre pays la Côte d'Ivoire rayonner, comme l'a si tôt compris le président , qui à juste titre et sans relâche, travaille inlassablement pour que nous n'ayons rien à envier à personne, nous Ivoiriens. Au demeurant restez serein, mes procès sont ouverts depuis 2016, donc le ballet judiciaire, j'y suis maintenant suffisamment habitué et outillé.

Nul besoin de lever des cotisations ou de monter des chaînes de solidarités financières. Non les gars, votre précieuse compréhension de cette situation dont nul n'est à l'abri ici en Occident, et notre prise de conscience collective me suffit largement.

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Avec le président Ouattara, je suis en sécurité partout dans le monde et je ne crains aucune administration judiciaire quelconque sur toute forme, tant que je demeure attaché au droit et à la justice comme mon président lui-même. Souvenez-vous que « papa na unité crédit moov 1000F » n'est pas le camarade de quelqu'un. Merci pour tout et n'oubliez pas, dîtes leur que j'arrive.

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Written by Johnny Patcheko

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