Face au rumeur sur l'affaire de Simone qui a été humiliée par Gbagbo, Steve Beko apporte un démentir et recadre Hanny Tchelley.
1- Tata Hanny Tchelley, contrairement à ce que tu racontes, le président Stéphane Kipré n'a jamais empêché la première dame Simone Gbagbo de saluer le président. J'étais témoin oculaire des faits. Sur les séquences vidéos disponibles, Stéphane Kipré est à droite du président et Kuyo Tea Narcisse à gauche. On voit bien Stéphane Kipré changer de côté pour justement permettre à la première dame d'avancer. Je ne sais pas de qui tu tiens cette information mais elle est totalement fausse. Peut être que tu connais la vérité et que tu joues un rôle politique contre une personne que tu n'aimes pas.
Je m'arrête là.
2- Tu critiques Stéphane Kipré en l'accusant d'avoir joué les loubards. C'est très vrai. Face à une situation de désordre, il a fait ce qu'il estimait utile pour son leader. Ta perception des choses depuis Paris est erronée. Mais bien plus, être le loubard de Gbagbo est petit. Ce n'est qu'une petite part des choses qu'on pourrait faire pour lui. Ce n'est rien même. Cet homme a donné sa vie pour nous tous et s'il faut jouer son loubard 364 jours on va le faire refaire et avec le sourire.
3- Le président Gbagbo n'a pas rabroué la première dame. Sur la séquence vidéo où on le voit faire de grands gestes, elle lui a parlé déjà et il lui dit qu'ils vont directement au QG. Là où il touche son oreille, c'est en lui disant: » J'ai compris ce que tu as dis ». Elle lui a deja parlé à l'oreille. Je m'arrête la
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4- Il s'agit du même Stéphane Kipré que la première dame Simone Gbagbo à publiquement remercié lorsqu'elle est sortie de prison en disant qu'il ne l'a jamais abandonné durant toutes ces années et qu'il s'est occupé d'elle comme un fils s'occupe de sa mère.
5- Je cherche camera Mevo à louer.
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Nb :Je ne veux pas prolonger des polémiques mais juste restituer la vérité des faits en ma qualité de témoin oculaire. Je respecte trop les personnes concernées pour agrémenter une autre polémique. Pour le moment, c'est Ouattara qui nous opprime tous.
