Téléchargement vidéo Baltasar : Les révélations sur la transmission présumée du virus par Baltasar Ebang Engonga soulèvent des questions sur la santé publique et la protection des femmes en Guinée équatoriale.
La découverte d’une possible transmission délibérée du VIH par un haut fonctionnaire équato-guinéen soulève l’indignation à Malabo. Les autorités sanitaires font face à une situation sans précédent après les accusations portées contre Baltasar Ebang Engonga, dit Bello.
L’affaire touche des femmes de plusieurs nationalités, notamment équato-guinéennes et camerounaises, selon les documents saisis lors de l’enquête. « On parle de centaines de femmes, parfois liées à la famille Obiang et au gouvernement », indique une source proche du dossier.
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Les services de santé de Malabo doivent gérer une situation complexe. La confidentialité médicale se heurte à la nécessité d’identifier et de prendre en charge les potentielles victimes. Les autorités sanitaires ont mis en place une cellule d’urgence pour accompagner les personnes concernées.
Les vidéos découvertes dans les appareils électroniques de Bello révèlent des relations non protégées avec de nombreuses partenaires. L’enquête s’étend désormais au-delà des frontières nationales, notamment au Cameroun voisin, où plusieurs femmes auraient été en contact avec le suspect.
CONSÉQUENCES SOCIALES ET FAMILIALES
Le scandale ébranle les fondements de la société équato-guinéenne. Des épouses de ministres et de généraux figurent parmi les victimes présumées, dont l’intime du ministre de la Sécurité publique, Nicolás Obama Nchama, et l’épouse du ministre Antonio Oburu Ondo.
La prison de Black Beach, où est détenu Baltasar Ebang Engonga, est devenue le centre d’une enquête qui dépasse le cadre initial des malversations financières. Les enquêteurs tentent d’établir la chronologie exacte des faits et d’identifier toutes les personnes exposées.
Selon les informations de Jeune Afrique, cette affaire sanitaire pourrait avoir des répercussions jusqu’à Paris, où la sœur du suspect occupe un poste à l’Unesco. Les autorités équato-guinéennes prévoient de renforcer les mesures de prévention et de dépistage du VIH dans les administrations publiques.
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