Vidéos de Baltasar Ebang : Les sextapes de Guinée Équatoriale révèlent un réseau d’exploitation sexuelle touchant des centaines de femmes dans les hautes sphères du pouvoir.
Vidéos sextapes de Baltasar Ebang. Les sextapes de Guinée Équatoriale dévoilent l’existence d’un réseau d’abus sexuels au sein des institutions. La diffusion de 400 vidéos intimes implique Baltasar Ebang Engonga, directeur de l’ANIF et fils du président de la CEMAC, dans des actes filmés dans son bureau.
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Les vidéos montrent des scènes intimes enregistrées sur une période de plusieurs mois. Le bureau du directeur de l’ANIF contenait des caméras cachées à différents endroits stratégiques. Les enregistrements révèlent des interactions avec des femmes mariées, des employées et des personnalités proches du pouvoir.
Les services de sécurité présidentielle ont orchestré la diffusion des images. Le chef de la sécurité, dont l’épouse apparaît dans certaines vidéos, a déclenché cette fuite massive. Les enregistrements circulent désormais sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie.
Les victimes face au scandale
Les femmes filmées appartiennent à différentes catégories sociales. L’enquête identifie des épouses de hauts fonctionnaires, des employées administratives et des femmes liées au cercle présidentiel. Les vidéos soulèvent des questions sur la nature du consentement dans ces relations.
Le procureur général a ouvert une enquête sanitaire. Les autorités examinent les risques de transmission de maladies sexuellement transmissibles. Cette dimension ajoute une préoccupation de santé publique à l’affaire.
Conséquences sociales et familiales
La diffusion des vidéos provoque des bouleversements dans les familles. Les époux des femmes impliquées subissent une humiliation publique. Les enfants affrontent moqueries et rejet dans leurs écoles et leurs communautés.
Les associations féminines demandent justice. Elles exigent des poursuites contre les responsables et la mise en place de protections pour les victimes. Le scandale met en lumière l’absence de mécanismes de protection efficaces pour les femmes.
Le monde professionnel ressent les répercussions. Les témoignages d’employées révèlent un climat de peur dans l’administration. Les femmes dénoncent les pressions subies et l’impossibilité de refuser les avances des supérieurs.
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