Adama Diawara a passé au peigne fin les préoccupations relatives à la récente grève de la FESCI et la question du recrutement des Docteurs non recrutés.
Invité de l'émission » ça fait l'actualité » de Rti1 du jeudi 11 mai 2023, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Professeur Adama Diawara a passé au peigne fin les préoccupations relatives à la récente grève sur l'espace universitaire et Grandes écoles; le retour de la Quinzaine internationale de la science et de la technologie (Qist), édition 2023, non sans évoquer l'épineuse question du recrutement des Docteurs non recrutés qui continue de dominer l'actualité.
À chacune des préoccupations soulevées par le journaliste présentateur de l'émission, Hamza Diaby, le premier responsable du MESRS a trouvé le mot juste pour rassurer l'opinion nationale. Ainsi abordant le sujet brûlant de la récente grève de la Fédération estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci), Professeur Adama DIAWARA a été on ne peut plus rassurant sur le climat qui prévaut sur l'espace universitaire. Il a éclairé l'opinion sur cette grève qui a mis à mal le fonctionnement des universités et Grandes écoles pendant 2 jours (du 2 au 3 mai 2023) tout en concluant que son département ministériel s'est entendu avec les organisations estudiantines relativement à la majorité des points inscrits sur leur plateforme revendicative.
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En ce qui concerne l'équation des Docteurs non recrutés, Adama Diawara dira que la nouvelle loi sur l'Enseignement supérieur qui sera promulguée sous peu permettra de mettre fin au débat, avec la mise en place des écoles doctorales, « en ce moment, les règles du jeu seront claires ».
Le ministre est largement revenu sur les opportunités qui s'offrent aux Docteurs non encore recrutés, notamment la reconversion.
Pour finir, le ministre a informé l'opinion du retour de la Quinzaine internationale de la science et de la technologie (Qist).
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Pour cette édition, la 3eme du genre, le ministre n'a pas manqué de relever l'objectif de celle-ci. A savoir : promouvoir la science et la technologie, ‘un pan de son département ministériel. Aussi a-t-il déploré l'insuffisance du financement de la Recherche, l'insuffisance de la valorisation économique des résultats de la Recherche. » On reste encore sur notre faim. On a un défi à relever », a-t-il avoué.
En tout état de cause, l'on note que cette lucarne de 52 minutes a permis au premier responsable de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique de mettre en exergue sa vision pour un enseignement supérieur de qualité et performant. Un enseignement adapté aux réalités du marché de l'emploi. En témoigne le passage du nombre de postes budgétaires disponibles de 675 cette session à 700.
