Jean Bonin fait des recommandation au ministère ivoirien de l’intérieur, des Affaires étrangères, l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Maroc.
LES FAITS : Le passeport ivoirien ferait l’objet d’un vaste commerce dans certains pays de la sous-région et du Maghreb. Au Maroc, la transaction se passe dans des groupes WhatsApp et porte sur la somme de 700 dirham pour se procurer le passeport qui serait vendu à des trafiquants par certains de nos compatriotes.
Les trafiquants se chargent alors de changer le nom et là photo avant de remettre le passeport aux acquéreurs.
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MA RECOMMANDATION : De toute évidence, le passeport ivoirien est très demandé à l’international. Il faudrait qu’il soit véritablement biométrique afin que sa falsification en devienne quasiment impossible. Or, si les trafiquants le vende, c’est le signe que sa falsification ne leur pose aucun problème. Il faudrait solliciter les services d’un expert graphologue agréé auprès des tribunaux pour former la police aux frontières et les agents consulaires ivoiriens à détecter les faux documents administratifs.
