Mutilations génitales féminines en Côte d’Ivoire : les chefs traditionnels de Biankouma sensibilisés

Les ONG AVSI et Arc en ciel ont expliqué aux chefs traditionnels et de communautés de Biankouma les dangers des mutilations génitales féminines.

Le sous-préfet de , N'dri Aliali Hervé, a souligné l'urgence d'agir contre les mutilations génitales féminines par l'implication des chefs traditionnels dans la lutte dans une région où, selon le chef de projet de l'ONG AVSI, Konguep Cyrille, les pratiques d'excision continuent.

Gbonne, Sipilou et Biankouma, fait-on savoir, sont appelées ” le triangle de résistance” des mutilations génitales féminines dans le .

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La directrice du cabinet juridique à , Mme Yao Justine, a informé les chefs traditionnels que l'Etat de Cote d'Ivoire est passé de la sensibilisation à la répression, depuis 1998 conformément au code pénal et que depuis 1992, de nombreuses exciseuses ont été emprisonnées.

Written by Véronique Fortes

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