Guillaume Soro, candidat déclaré à la présidentielle 2020, continue sa résistance contre le régime d'Abidjan, dans les instances européennes.
Les nouvelles ne sont pas bonnes pour Ouattara et tous les Ivoiriens s'en rendront compte bientôt. La mise en place de L'ECO est menacée en raison de la situation sociaux-politiques et des risques de contestation dont les prémices sont très visibles. Les banques font face à de nombreuses fuites de capitaux.
Les partenaires économiques de la Côte d'Ivoire s'inquiètent. En plus de l'avoir obligé à réouvrir le dialogue avec l'opposition, la France et l'union européenne font face à la pression de plusieurs députés européens actionnés par Amnesty international suite à l'arrestation des députés de l'opposition et la persécution des opposants en Côte d'Ivoire.
En France, plusieurs députés de la République en marche à l'intérieur du groupe parlementaire de ce parti sollicitent un débat sur la Côte d'Ivoire sans oublier les partenaires économiques de la Côte d'Ivoire qui commencent à envoyer des signaux d'exaspération et demandent des clarifications sur l'arrestation des députés proches de GKS et sur les poursuites engagées contre celui-ci.
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Bientôt, d'autres organisations à l'instar d'Amnesty International feront clairement des communiqués contraignants et une mission de l'Union Européenne se rendra à Abidjan pour évaluer la situation très bientôt.