La crise sanitaire du coronavirus et les violences liées à l'élection à Yamoussoukro ont fortement impacté les activités.
« Nous n'avons pas eu le temps d'exécuter ce que nous avons planifié pour cette année. Déjà notre première réunion de l'année prévue fin mars n'a pu se tenir à cause du coronavirus qui s'est déclaré au début du même mois », a relevé M. Bonsrin qui s'exprimait au terme d'un atelier bilan tenu, mercredi 23 décembre 2020, à la préfecture de Yamoussoukro.
La commission dont l'objectif est de veiller à ce que la cohésion sociale reste forte dans la région et qu'elle ne se dégrade pas à la faveur de conflits entre les communautés, autrement dit veiller sur la paix, n'entend toutefois pas baisser les bras.
« Nous allons voir comment redynamiser notre plateforme locale pour que nous puissions être beaucoup plus efficaces l'année prochaine, beaucoup plus visibles en exécutant toutes les actions programmées », a poursuivi le secrétaire technique de la commission.
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L'atelier bilan de la commission était présidé par le préfet de Yamoussoukro représenté pour l'occasion par le secrétaire général de préfecture Coulibaly Yaya qui a invité chacune des entités membres à jouer pleinement sa partition afin de prévenir notamment les conflits.
La commission régionale du district de Yamoussoukro de l'observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale « jouera sûrement sa partition à savoir rendre compte, mener des activités de sensibilisation mais il faut aussi tenir compte d'autres dynamiques qui si rien n'est fait peuvent contribuer à dégrader la cohésion sociale », a indiqué M. Bonsrin Adolphe.