Serge Bilé a apporté son soutien l'humoriste Yvidero citée dans une affaire de lesbienne avec Love Gugu à l'état civil Seh Augustine.
Si elle me cite parfois dans ses sketchs, c'est parce qu'on se connaît depuis longtemps. J'ai connu Yvidero bien avant qu'elle ne soit connue, bien avant qu'elle ne songe à devenir humoriste. Échanges, conseils, blagues, c'était notre lien, comme peut avoir une jeune personne avec quelqu'un qu'elle apprécie.
Puis le temps a passé, la femme est sortie de l'ombre pour prendre la lumière et chacun de nous a continué son chemin de son côté. Qu'on n'aime ou pas son humour et son caractère, qu'on n'aime ou pas ses vidéos et ses déclarations, Yvidero a son public et son succès forge le respect.
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Bien sûr, comme toute personnalité publique, chaque geste qu'elle pose l'expose à la critique. Ça fait partie du jeu. On l'accepte. Mais de là à descendre plus bas, il y a un pas à ne pas franchir pour le respect de… soi-même.
En effet, celles et ceux qui s'en prennent aujourd'hui sur facebook à sa vie privée, se déshonorent, comme des âmes basses qui parlent bassement.
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Pour le reste, comme on dit en Martinique: Yo pa ka voyé roch adan pié mango ki pa ka poté. En clair: On ne lance pas de pierres contre un manguier qui ne porte pas de fruits