ACTUALITES BEIJING, 16 octobre 2020 (Yeclo avec Xinhua) — Voici notre rubrique « Bonjour, Afrique » :
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Burkina Faso : une vingtaine de civils tués dans le Sahel, selon le gouvernement
OUAGADOUGOU — Le gouvernement burkinabè a annoncé jeudi qu'une vingtaine de personnes avaient été tuées mercredi dans des attaques perpétrées par des groupes terroristes dans des villages de la province sahélienne du Séno (nord). Ces groupes armés ont attaqué les civils dans les villages de Demniol, Bombofa et Péteguersé, a précisé son porte-parole, Remis Dandjinou. « Le bilan provisoire (…) fait état d'une vingtaine de victimes, de blessés et des personnes portées disparues », a-t-il ajouté.
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Couvre-feu prolongé dans le Sahel burkinabè pour cause du terrorisme
OUAGADOUGOU — Le couvre-feu a été prolongé de 45 jours dans la région du Sahel burkinabè en raison des attaques terroristes que subit cette région du nord du pays, a annoncé son gouverneur, le colonel-major Salfo Kaboré. Cette décision sera en vigueur jusqu'au 30 novembre prochain, alors que la durée du couvre-feu varie d'une localité à une autre dans la région.
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L'ONU salue l'arrestation d'un trafiquant d'êtres humains libyen
TRIPOLI — La Mission d'appui des Nations Unies en Libye (MANUL) a salué jeudi l'arrestation d'un trafiquant d'êtres humains et de carburant par le gouvernement d'union nationale soutenu par l'ONU. « La MANUL se félicite de l'arrestation (mercredi) d'Abd al-Rahman Milad, plus connu sous le nom d »Al-Bija', par les forces de l'ordre du gouvernement d'union nationale. Milad était sur la liste du comité des sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU depuis juin 2018 pour son implication dans le trafic d'êtres humains et de carburant », a-t-elle salué dans un communiqué. « De telles arrestations constituent une étape importante pour garantir la justice à des milliers de personnes vulnérables, Libyens comme migrants, et promouvoir le respect des droits de l'Homme en Libye », a ajouté la MANUL.
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Mali : la transition doit aboutir au retour à l'ordre constitutionnel (Conseil de sécurité)
NEW YORK (Nations Unies) — Le Conseil de sécurité des Nations Unies a souligné que la transition au Mali doit s'effectuer conformément à la Charte de la transition pour aboutir au retour à l'ordre constitutionnel et à la tenue d'élections dans un délai de 18 mois. Le Conseil de sécurité s'est félicite de la mise en place des dispositions relatives à la transition au Mali, notamment la nomination d'un président, d'un vice-président, d'un Premier ministre et d'un gouvernement de transition, et la publication d'une charte de la transition. Le Conseil s'est également félicité de la libération de toutes les personnalités officielles détenues, comme la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) l'a demandé. Il a appelé à la nomination rapide d'un conseil national de transition. Fin
