Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM) a revendiqué les attaques de Boulkessy et Mondoro qui a coûté la vie à 40 militaires au Mali.
Selon un rapport, l'armée a également subi de lourdes pertes matérielles, dont une dizaine de véhicules incendiés.
Dans son communiqué, le GSIM affirme que cet arsenal est tombé aux mains de ses combattants pour « continuer leurs opérations et avancer jusqu‘à la libération de tout le Mali et la région des croisés ».
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« Les terroristes font comme d'habitude de la propagande. Nous n'allons pas faire leur jeu », a déclaré un responsable du ministère malien de la Défense, suite à la déclaration du GSIM, ajoutant que « les terroristes ont plus de 20 morts dans leurs rangs ».