Revue de la presse sénégalaise du 27 juillet 2020

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Revue de la presse sénégalaise du 27 juillet 2020. Voici les principales informations à la une de journaux sénégalais ce lundi.

LE SOLEIL

La prise en charge des cas graves, en augmentation au cours des derniers jours, reste une contrainte majeure dans la gestion de la pandémie de . La preuve, neuf patients qui étaient en réanimation, ont perdu la vie ce week-end. C'est ce qui est ressorti de la lecture de deux bulletins épidémiologiques du samedi et dimanche qui font également cas de 259 nouvelles contaminations sur 2.682 tests réalisés contre 118 guéris. S'agissant des cas grave, ils sont au nombre de 50 et sont actuellement prise en charge dans les services de réanimation des différentes structures de santé référence du pays. Cette augmentation des cas graves a poussé les autorités sanitaires à étendre la capacité d'accueil dans ces services qui ne disposaient que de 40 lits au début de l'épidémie au .

L'OBSERVATEUR

Le journaliste sénégalais Babacar Touré, ancien président du Conseil national de régulation de l'audiovisuel (), est décédé dimanche soir à , à l'âge de 69 ans. Surnommé BT par certains confrères, selon ses initiales, il restera une inoubliable page d'histoire dans la vie des médias au Sénégal. Il a fondé en 1986, avec ses anciens collègues Sud Hebdo, devenu Sud Quotidien en 1993. Babacar Touré prend la tête du Sud communication, groupe qui compte également Sud FM, à partir de 1994, première radio privée , une chaîne de télévision LCA, basée en et l'Institut supérieur de l'information et de la communication (ISSIC).

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LE QUOTIDIEN

Véritable frein au développement de l'athlétisme, le changement de nationalité des athlètes africains demeure une préoccupation pour les responsables du continent de cette discipline. Pour le directeur général de la Confédération africaine d'athlétisme (CAA), le changement de nationalité des athlètes africains est un phénomène qui impacte la discipline sur le continent. Pour le dirigeant sénégalais, la fuite des talents est un handicap majeur. Selon lui, c'est avec beaucoup de tristesse qu'ils observent des athlètes africains se confronter avec leurs frères et sœurs du continent dans des compétitions mondiales. M. Faty a souligné que la motivation des athlètes est principalement financière. Pour réguler le mal et freiner ce phénomène, le directeur général de la CAA estime qu'il faut mieux outiller les instances fédérales. Il a ajouté que pour venir à bout de ce phénomène, l'instance africaine a finalement mis en place un mécanisme, une attente de quatre ans avant de changer de nationalité.