Le risque d’un manque alimentaire se profile à l’horizon dans le N’zi

Le risque d'un manque alimentaire dans les semaines à venir est bien réel dans le N'zi si les activités ne se normalisent pas.

Depuis plus de deux semaines, en raison des tensions nées des contestations de la , les populations  ont bloqué les voies d'accès des villages. Cette situation a entrainé un arrêt complet des activités de transport. Aujourd'hui, il est impossible d'évacuer les produits agricoles  des brousses vers les chefs-lieux de départements et de région et/ou de les ravitailler à partir d'.

A , chef-lieu de région, les magasins et autres surfaces qui vendent notamment le riz, la farine et l'igname sont en rupture. L'attiéké, le placali (pâte de manioc), sont introuvables au grand  marché de la ville qui n'est plus ravitaillée en manioc. La salade et autres légumes, si on en trouve, ont augmenté de prix.

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Si à Dimbokro, la situation semble encore tenable, à et à par contre, elle est plus dramatique.

Written by Emmanuella Bâ

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