« La troisième lettre » à travers cet opus, Billy Billy, l'enfant de Wassakara envoie un message Henri Konan Bédié, président du PDCI.
« Excellence président Henri Konan Bédié, mon premier couplet c'est à vous que je veux le dédier. Bonjour ou bonsoir ça dépend de l'heure à laquelle vous allez lire ma lettre. Être à 26 ans ambassadeur, il faut avoir du mérite, l'historique « miracle ivoirien » j'ai eu les échos, je vous en félicite.
Ce n'est pas facile de remplacer Houphouët-Boigny, les gens ont voulu vous marmailler mais vous êtes arrivé le premier à la RTI. Je ne comprends pas pourquoi l'ivoirité, les gens veulent trouver de la combine, moi mon fils est Français de nationalité, mais à l'école on lui demande Yao?
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C'est quelle origine ? En fait être étranger n'est pas une injure, l'injure c'est lorsqu'à la maison on t'appelle grand-papa, au travail les gens t'appellent « petit kakaba » « petit kakaba » c'est en français ivoirien sinon en Anglais on dit KKB.