Découvrez la liste des présidents africains ayant perdu la vie pendant leur mandat est longue pour cause de cause la maladie.
Houari Boumédiène, s'éteint à Alger le 27 décembre 1978 à l'âge de 46 ans des suites d'une infection du sang.
L'Égyptien Gamal Abdel Nasser, mort à 52 ans au Caire.
Umaru Yar'Adua, président du Nigeria, avait lui aussi moins de 60 ans (58 ans) lorsqu'une maladie cardiaque l'a emporté en 2010.
Omar Bongo Ondimba (73 ans) est probablement celui qui aura le plus profité du pouvoir. Il est hospitalisé le 11 mai 2009 à Barcelone, avant de s'éteindre, officiellement le 8 juin.
Léon Mba, premier président du Gabon, était également en poste à sa mort à l'âge de 65 ans.
Félix Houphouët-Boigny, le père de la nation ivoirienne, ne pouvait envisager d'autre destin que de mourir sur scène. Décède à Abidjan le 7 décembre 1993 à l'âge de 88 ans.
Gnassingbé Eyadéma, victime d'une crise cardiaque, le 5 février 2005, après avoir passé près de trente-huit ans au sommet de l'État.
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Michael Sata, président zambien, élu à 74 ans en 2011, et décédé en 2014 à Londres.
Malam Bacai Sanhá, emporté par la maladie en 2012, à Paris, après un peu plus de deux ans aux commandes du pays, à 64 ans.
John Atta Mills, Ghana (2012) : Les jours de John Atta Mills prennent fin le 24 juillet 2012. C‘est une crise cardiaque qui emporte le président, âgé de 68 ans. Il avait accèdé à la magistrature suprême en décembre 2008 et était entré en fonction l'année suivante. Membre du Congrès démocratique national, John Atta Mills a occupé le poste de vice-président de la République du Ghana de 1997 à 2001 aux côtés de Jerry Rawlings.