Le témoin de la bagarre entre Eunice Zunon et Ténor n’avait que ce mot à la bouche: »Non, Eunice! ».
Alors que son artiste était en train de lutter et jeter par terre l’humoriste et blogueuse ivoirienne, le filmeur du « gnaga »(rixe) des artistes criait toujours: »Non, Eunice ».
Cette attidude du seul témoin du combat entre Eunice et Ténor est la preuve du complot ourdi contre la belle ivoirienne visée, mais pas atteinte.
Par ailleurs, arrêtons de jeter la pierre á Eunice Zunon, dont le crime est d’aimer avec passion l’objet de son désir charnel, Ténor qui, á la vérité, ne l’aime pas.
On ne doit pas également condamner la star de la musique cameroinaise parce que sa flamme pour notre belle Eunice Zunon s’est éteinte. Elle a été éphémère.
Quant á l’Ivoirienne, sa passion dévorante a brûlé Ténor. Et cela, parce que là oú se trouve la passion, la raison fout le camp.
L’étreinte amoureuse d’Eunice a étouffé Ténor. Est-ce mauvais de trop aimer?Nous disons non!
Le trop plein d’amour de notre belle blogueuse était vu par le chanteur camerounais comme un danger pour sa liberté á conquérir les femmes attirées par sa popularité.
Se sentant trahie, rejetée, humiliée… face á la caméra de l’unique témoin de son rejet par Ténor, Eunice Zunon, habillée d’une salopette de couleur rouge, baptisée »la Zunonten, l’antiobiotique contre l’infidélité, a défendu son honneur et sa dignité bafoués avec un « cadenas »(une prise étouffante), et ce, en espérant soumettre celui qu’elle aime plus que tout.
Une stratégie, qui pour l’instant, s’est avérée contre-productive. Mais est-ce une raison suffisante pour la brûler?Non, non, non, non…
