Selon Dano Djédjé, ce nouveau parti de Gbagbo se veut « socialiste, progressiste, panafricaniste et souverainiste ».
Ce sont près de 1650 personnes choisies, en tenant compte des mesures barrières liées à la Covid 19, qui sont attendues pour cet évènement de portée politique. Cette rencontre doit porter sur les fonts baptismaux, ce nouveau parti de gauche, qui se veut « socialiste, progressiste, panafricaniste et souverainiste », a affirmé M. Dano Djédjé.
« L’enjeu est de mettre sur pied une force politique qui rassemble les idéaux de gauche, de partage, de démocratie, de liberté, de prospérité et de solidarité et d’arriver à capter des ivoiriens pour en faire un grand instrument de lutte ou tout le monde se retrouve », a -t-il indiqué.
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Pour lui, M. Gbagbo demande la mise sur pied d’un parti socialiste, progressiste, panafricaniste et souverainiste. ” Et si il y a des personnes qui adhèrent à ces valeurs, elles viendront avec nous. Cet instrument fera une large ouverture sur l’Afrique, un mouvement d’ensemble, un instrument de lutte pour une bataille continentale”, a-t-il dit.
Selon le président de ce congrès, la nouvelle formation politique entend répondre aux aspirations des ivoiriens. « Le FPI , crée en 1988 et qui a accédé au pouvoir d’Etat en 2000 ne correspond plus aux objectifs issus de la lutte politique pour changer la Côte d’Ivoire”, a-t-il relevé.
