Selon l’Archevêque Vincent Kodja, le président Ouattara, serait en train de faire de Guillaume Soro un farouche opposant.
Après son retour avorté le 23 décembre dernier en Côte d’Ivoire, où la justice, qui le soupçonnait de préparer une « insurrection civile et militaire », avait émis un mandat d’arrêt contre lui, Guillaume Soro promettait crânement « d’organiser la résistance comme le général de Gaulle »… depuis Paris.
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Depuis cette date, les nuages s’accumulent sur les ambitions de l’ancien chef rebelle, candidat déclaré à l’élection présidentielle d’octobre 2020, condamné dans son pays, le 29 avril dernier, à 20 ans de prison ferme et à la privation de ses droits civiques pour « recel de détournement de deniers publics » et « blanchiment de capitaux ».