La Direction Générale des Transports Terrestres dévoile un bilan sans précédent des sanctions routières depuis 2018.
La Commission de retrait des permis de conduire a examiné 2166 dossiers depuis 2018. Ces chiffres, communiqués par Oumar Sacko, Directeur Général des Transports Terrestres, démontrent l’intensification des sanctions contre l’incivisme routier. La Commission, réactivée par arrêté ministériel, applique des retraits de permis allant de trois mois à quinze ans.
Les sanctions en chiffres
Sur les 2166 dossiers examinés, 1709 permis ont fait l’objet d’un retrait effectif. « 342 permis de conduire sont condamnés avec sursis et 115 permis ont été restitués aux titulaires », précise Oumar Sacko. Ces sanctions répondent à des infractions spécifiques, principalement la vitesse excessive et le défaut de maîtrise du véhicule.
Les conducteurs sanctionnés se répartissent en plusieurs catégories d’infractions. La Commission relève notamment « l’imprudence du conducteur, le non-respect des règles de priorité, et la conduite en état d’ivresse » comme motifs récurrents de retrait.
La rédaction vous conseille
- Tunisie : baisse de 26,6% des revenus du transport terrestre sur les 10 premiers mois de 2020
- Coup d’Etat au Mali : le Niger annonce la fermeture de ses frontières
- Côte d’Ivoire : réouverture des frontières terrestres ce 15 février 2023
- Réouverture des frontières terrestres en Côte d’Ivoire en vidéo
- L’armée iranienne organise un exercice militaire
La Direction Générale participe activement à la Stratégie Nationale de Sécurité Routière. Cette stratégie, adoptée le 7 juillet 2021 par le gouvernement, structure l’action des autorités routières.
Les derniers articles sur YECLO
- Vidéo affaire « Baltasar » 400 sextapes : le fils du président de la CEMAC au cœur de la polémique
- Nady Bamba célèbre ses 23 ans mariage religieux musulman avec Gbagbo
- Réhabilitation axe routier Man-Danané-frontière de la Guinée
- Femmes PPA-CI : Gbagbo leur confie une mission stratégique pour 2025
- Grève fonction publique : Anne Ouloto s’engage à répondre aux attentes des syndicats