« Alassane Ouattara : un mandat de trop qui débute sur le flop du sang des manifestants »

« Alassane Ouattara : est-ce le début d'une fin ? » : Une analyse de Gnongoue Olivier, slate Afrique, suite à l'investiture du président du RHDP à la présidentielle.

La fin d'un mythe, d'un mystère autour de cet ex fonctionnaire du qui faisait, durant plus de trois décennies, le jour et la nuit, la pluie et le beau temps de la presse dite internationale, laquelle presse avait pris farouchement faits et causes pour  » le super économiste « , l'homme dit providentiel qu'il était.

Les symptômes actuels ne sont pas rassurants du côté d', les articles de presses vus à l'international, les plus sérieux à l'occident, tels que THÉ GUARDIAN, LE MONDE, l'humanité ou L'OBSERVATEUR, surtout certains organismes internationaux des droits de l'homme, devenus de plus en plus acerbes contre celui la même qui était chouchouté à une période charnière.

LIRE AUSSI : Mamadou Traoré, proche de Soro : « un autre signe de Dieu de la fin du régime RHDP »

Ouattara, a su et pu mettre tout le monde à dos à cause de son avidité, son égoïsme politique.Sur le plan national, c'est seul contre tous qu'il navigue désormais. Toutes les formations et associations politiques de renoms sont contre lui. Du côté de la sous région ouest africaine, le mythe Ouattara est totalement brisé. De ouaga à , ces capitales administrative de ces états dont l'opinion lui vouait une vénération le conspue désormais.

Ce genre de signes annonciateurs montre à la fois le désarroi d'un pouvoir et sa fébrilité. Seul contre tous, au milieu de ses radicaux égoïstes et assoiffés, refusant tout dialogue politique et républicain avec les présidents gbagbo, Bédié.Poussant , son ex poulain armé contre le mur, Ouattara semble être pris entre les tenailles de son propre destin politique, lui qui avait la lassitude de sortir fièrement par la grande porte, quitte a briser respectabilité et/ou honneur que la presse occidentale avait à son encontre.

LIRE AUSSI : Présidentielle 2020 : l'UDPCI rappelle ses militants restés au RHDP

Le au stade Félix Houphouët Boigny, contre l'esprit de la constitution, l'actuel chef de l'état, arrivé au pouvoir en avril 2011 de façon apocalyptique s'apprête à s'investir pour la de l'an 2020, afin de briguer un 3ieme mandat. Ce mandat de trop qui débute sur le flop du sang des manifestants. Six morts la semaine dernière.

Written by YECLO.com

Burkina : attaque à Foubé, 3 gendarmes tués

Liban : un drone militaire israélien s’écrase pour dysfonctionnement