Démission au Gouvernement RHDP : Amadou Koné, Touré Mamadou, Kambilé… quittent Ouattara ?

Selon Kouyate Oumar, Amadou Kone, Touré Mamadou… ont annoncé leurs intentions de démissionner à Ouattara si Hamed Bakayoko était le premier ministre.

Le Corbeau dans sa dernière publication le mardi dernier, avait étalé les conflits internes du pour informer les quant au refus des proches de AGC concernant la nomination de au poste de premier ministre. Eh bien, aujourd'hui dans son édition du jour, le journal JA confirme les propos du Corbeau, et ce n'est pas tout, il va plus loin en affirmant que des ministres proches de l'ancien PM défunt menacent de démissionner au cas où Hambak serait nommé PM.

Chers amis soroistes et Corbeauïstes, le Corbeau est en mesure de confirmer avec la plus grande certitude que les ministres Amadou Kone, Adjoumani, Toure Mamadou, Belmonde et le ministre de la justice Kambile, ont clairement dit au président de la république de leurs intentions de démissionner en cas du choix de Hambak en qualité de premier ministre. Mais, tenez-vous bien les démissionnaires sont de connivence avec le jeune frère du président Photocopie.

Et je n'oublie pas de vous dire que la ministre Kaba Niallé a eu des démêlées avec après qu'il a été intérimaire à la . Devant cette ambiance d'une maison déshéritée et d'incapacité d'un père de famille, le président Ouattara est tellement englué dans la nasse qu'il aurait repoussé le prochain conseil des ministres au 29 juillet.Le Corbeau avait également affirmé que Tiemoko meyllet un proche de Ouattara un de ses hommes pouvait être l'un des choix de celui-ci. Aujourd'hui le même journal affirme que ce dernier serait pressenti d'être le nouveau chef de la primature.

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Le Corbeau dit toujours…Complétez Chers Corbeauïstes. Le Corbeau reviendra dans une publication exclusive sur la candidature de qui a dans une correspondance diplomatique informé ce lundi l'ambassadeur de sur sa volonté de repousser les élections dans un délai de 6 mois, le temps de répondre aux préoccupations de la cour africaine de justice et des partenaires europé de la Côte d'Ivoire. Cependant le chef de l'état aurait informé son interlocuteur qu'il serait sous de pressions énormes de la part de divers groupes d'intérêts, disons des clans, ceux que nous appelons « Troubadours ».

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Par conséquent, l'homme perturbé craint que ce report ne débouche sur un soulèvement populaire de plus en plus annoncé par tous les renseignements généraux aussi bien de la Côte d'Ivoire que des pays amis. Dans ce tourbillon d'indécision, plusieurs caciques du pouvoir demandent au président de maintenir la date d'octobre car un report serait un échec pour le RHDP et même la quasi certitude de la perte du pouvoir.

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