Hamed Bakayoko, dans ses recommandations aux jeunes de Gagnoa a insisté sur le fait qu'il ne veut entendre parler de violence.
“Ce que j'ai entendu des jeunes, me rassure”, a fait savoir M. Bakayoko, lors de sa rencontre avec toutes les associations de jeunesses, y compris celles représentants les jeunesses autochtone et allochtones. Il s'est réjoui que les jeunes de toutes les communautés se soient engagés à ce que de telles violences n'aient plus lieu dans la ville, surtout du fait d'acteurs politiques.
Le déplacement du chef du gouvernement, à Gagnoa, fait suite aux manifestations de rues, à l'initiative de la jeunesse se réclamant de l'opposition politique, et qui se sont ensuite transformées en violences communautaires, ayant fait un mort et plusieurs blessés.
Le constat relevé par Hamed Bakayoko est que la jeunesse de Gagnoa vit une coexistence pacifique, mais se retrouve en conflit, du fait des « manipulations » de certains acteurs politiques.
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Cet appel à mettre fin à toutes actions de violence a été soutenu par le maire de la commune de Gagnoa, Yssouf Diabaté, qui s'est confondu en excuses, vu que, en tant que jeune, il aurait du agir pour ne pas que de tels faits se produisent.
