Justin Katinan Koné, Porte-parole du PPA-CI, a conduit, le samedi 16 juillet 2022, une délégation du parti de Gbagbo à Abengourou.
Ce déplacement s'inscrit dans le cadre des missions d'évaluation de la mise en place des structures de bases du Parti.
La rencontre avec les responsables locaux du PPA-CI a eu lieu à la salle de mariage de l'Hôtel de ville d'Abengourou. A cette occasion le Coordinateur régional Jean-Baptiste Kablan et le Coordinateur adjoint Assoa Angui Vicente ont fait le point de l'installation des structures de base. Il ressort de leurs différents rapports que 110 sections et 532 comités de base ont été pour l'instant installés effectivement sans compter les listes qui n'ont pu être acheminées pour certaines difficultés. Difficultés auxquelles le Ministre Justin Katinan Koné a proposé des solutions qui mises en œuvre devront permettre d'avoir les listes au plus tard le mercredi 20 juillet.
Après avoir écouté le rapport du Coordinateur régional et de son adjoint, le Ministre Koné Katinan les a félicité pour le travail accompli et les a exhorté à poursuivre l´implantation qui ne devra connaître de fin, tant qu'il y aura un ivoirien qui n'aura pas encore pris sa carte PPA-CI. Il a profité de l'occasion pour rappeler le sens du combat du Président Laurent Gbagbo :
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« 𝐶𝑎𝑚𝑎𝑟𝑎𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑃𝑃𝐴-𝐶𝐼, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑐ℎ𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑐ℎ𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑠. 𝑀𝑜𝑖, 𝑇𝑎𝑔𝑏𝑎𝑛𝑎𝑛, 𝑡𝑜𝑖 𝐴𝑔𝑛𝑖, 𝐴𝑘𝑦𝑒́, 𝐺𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒́,𝑌𝑎𝑐𝑜𝑢𝑏𝑎, 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒́ 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑑𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑙𝑒𝑎𝑑𝑒𝑟, 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝐿𝑎𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝐺𝑏𝑎𝑔𝑏𝑜, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠, 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑥𝑖𝑔𝑒 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒𝑠, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑙𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑'𝑎𝑏𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.
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𝐴 𝑙𝑎 𝐶𝑃𝐼, 𝑐̧𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑡 𝐿𝑎𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝐺𝑏𝑎𝑔𝑏𝑜. 𝐼𝑙 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑎 𝑚𝑒𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟. 𝐽𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑖𝑒𝑧 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑖𝑐𝑖. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑖𝑐𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢'𝑢𝑛. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑖𝑐𝑖 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐽'𝑎𝑖 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 10 𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑙. 𝑀𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑖̂𝑛𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑒́𝑑𝑒́, 𝑗𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑢 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑟. 𝐽𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑢 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑟 𝑚𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒. 𝐽𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒.
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𝐿𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑙𝑒𝑛𝑔𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑. 𝐿'𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒. 𝐿'𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑣𝑜𝑖𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑓𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝐿𝑎𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝐺𝑏𝑎𝑔𝑏𝑜 𝑒𝑠𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒. 𝑁𝑒 𝑑𝑒𝑐𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝑆𝑖𝑛𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑆𝑎𝑛𝑠𝑎𝑛 𝐾𝑜𝑢𝑎𝑜 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑖𝑐𝑖 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́ 10 𝑎𝑛𝑠 𝑑'𝑒𝑥𝑖𝑙 𝑒𝑡 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑙 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑟𝑖𝑒𝑛…𝐴𝑏𝑒𝑛𝑔𝑜𝑢𝑟𝑜𝑢, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑐𝑖 𝑎̀ 𝐴𝑏𝑒𝑛𝑔𝑜𝑢𝑟𝑜𝑢. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒𝑟, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 ».
