3è mandat de Ouattara : Malan Aka, pro-Gbagbo a lancé ce 25 juillet 2020, une pétition adressée à Cour Africaine contre une candidature d'ADO.
NON AU 3EME MANDAT ANTICONSTITUTIONNEL DE OUATTARA
« Allons tous signer cette pétition contre la 3ème mandat anticonstitutionnel d'Alassane Ouattara. Il suffit juste de cliquer sur le lien ci-dessous puis de remplir le formulaire associer au lien.(Partagez le lien à toutes vos connaissances)http://chng.it/YtmMmbw2Ld«
Nous nous rappelons tous qu'en 2016, les autorités ivoiriennes avaient vite fait voter la nouvelle Constitution en évitant tout débat public sérieux pouvant exposer ce qu'elle cachait de conflictuel en son sein. Aujourd'hui, le débat nous rattrape. La constitution de 2016 que Ouattara avait brandie comme étant la Constitution qui allait régler le problème ivoirien est beaucoup plus conflictuelle que n'a été la Constitution d'août 2000. À quoi, donc, nous aura servi cette Constitution qui a coûté des milliards de FCFA au contribuable Ivoirien (à travers l'organisation un référendum) si elle doit nous conduire à une autre crise électorale meurtrière seulement 04 ans après son entrée en vigueur ?
Que veut Ouattara au peuple Ivoirien ?
M. Ouattara a été au cœur de tous les événements malheureux qu'a connu notre pays depuis la mort du président Félix Houphouët-Boigny jusqu'à ce jour.
Partant du coup d'Etat institutionnel manqué de 1993 jusqu'à ce projet de 3ème mandat inconstitutionnel, en passant par le coup d'Etat militaire de 1999 et la rébellion armée de septembre 2002 ; le nom de Ouattara n'a fait que retentir à l'épicentre de tous les cataclysme politique en Cote d'Ivoire.
La dernière en date nous a valu plusieurs milliers de morts avec un génocide dans l'ouest du pays qui jusque-là est resté impuni. Les auteurs de ces actes macabres ont plutôt été promus à de hautes fonctions du pays pour avoir aidé Ouattara à conquérir le pouvoir d'Etat à travers la rébellion armée qu'il a financée.
Les coups de force doivent prendre fin. Les Ivoiriens doivent faire barrage à un éventuel 3ème mandat de M. Ouattara.
Après Ouattara, ce n'est pas Ouattara ;
Et après Ouattara, ce n'est pas la fin du monde ;