Voici la revue de la presse belge du 01 février 2021 et les principales informations dans des quotidiens belges parus ce lundi.
HET NIEUWSBLAD (La Nouvelle Gazette)
Entre le 25 et le 31 janvier, près de 114 personnes contaminées par le Sars-Cov-2 ont été admises en moyenne chaque jour à l'hôpital en Belgique, ce qui représente une diminution de 16% par rapport à la période de sept jours précédentes, selon les chiffres du bulletin épidémiologique quotidien de l'Institut de santé publique Sciensano publiés ce lundi.
DE STANDAARD (Le Standard)
A partir d'aujourd'hui, lundi, les entreprises flamandes touchées par le Brexit peuvent demander une subvention de résilience au Brexit jusqu'à 50.000 euros pour acheter des conseils pour explorer de nouveaux marchés, par exemple. La ministre flamande de l'Economie Hilde Crevits (CD&V) fournit un total de 28 millions.
HET LAATSE NIEUWS (Les Dernières Nouvelles)
Les 103 membres du personnel de la zone de police Brabant Wallon Est ont été mis en quarantaine car plusieurs personnes sont infectées par le coronavirus. Un porte-parole de la zone de police autour de Geldenaken (Jodoigne) l'a signalé samedi soir. Tous les bureaux de police sont fermés du samedi 21 heures au mardi 8 heures. En coopération avec les zones de police voisines, le service sera assuré.
GAZET VAN ANTWERPEN (La Gazette d'Anvers)
Près d'un an après le début de la crise sanitaire du coronavirus, les experts qui conseillent le gouvernement vont recevoir une compensation financière. « La compensation devrait rendre leur position plus claire », avance-t-on dans les milieux gouvernementaux. « De cette façon, ils sont vraiment au service du gouvernement. »
LA LIBRE BELGIQUE
Fin 2020, le gouvernement a décidé que les personnes revenant des zones rouges devaient être mises en quarantaine à leur retour et être testées le premier et le septième jour de celle-ci. Mais depuis le début du mois de janvier, plus de 40% des Belges qui sont rentrés d'un voyage en zone rouge à l'étranger n'ont pas procédé à un test de dépistage pourtant obligatoire, selon les chiffres de l'institut de santé publique Sciensano.
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SUDPRESSE
De plus en plus de professionnels de la santé envisagent de changer de métier. Pas moins de 22% des professionnels de soin et d'aide envisagent de cesser leur activité et de se réorienter. Avant la crise, ce chiffre était de 10 %.
