Revue de la presse sénégalaise du 23 novembre 2020

La revue de la presse sénégalaise du 23 novembre 2020 et les principales informations à la Une de journaux sénégalais parus lundi.

LE SOLEIL

La prématurité et la pneumonie inquiètent les autorités sanitaires sénégalaises. En présidant les journées mondiales couplées de la prématurité et la pneumonie, le ministre sénégalais de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr a soutenu qu'elles constituent les deux causes de la mortalité chez les enfants de moins de 5 ans. Cette information a été confirmée par la Directrice de l'Hôpital des enfants Albert Royer, docteur Isseu Tall Diop. Selon Dr Diop, en 2018, sur 12.000 décès néonatals enregistrés au , 4.000 à 5.000 étaient des prématurés. Ce qui représente d'après le ministre sénégalais de la Santé, 29% de la mortalité. Cependant M. Sarr a noté que des progrès ont été réalisés. Ils se traduisent par une baisse de la baisse de la mortalité néonatale de 35 à 21 pour mille entre 2005 et 2019.

L'OBSERVATEUR

Des centaines de jeunes sénégalais prennent des pirogues pour rallier les côtes espagnoles. Plusieurs d'entre eux meurent en cours de route. Une situation déplorable qui oblige le Sénégal et l'Espagne à conjuguer encore plus d'efforts pour freiner cette vague meurtrière. Dans ce cadre, l'Espagne va envoyer des policiers en mission au Sénégal pour freiner la vague meurtrière de l'émigration clandestine. L'annonce a été faite dimanche par la ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya, en visite au Sénégal. Elle a aussi indiqué que l'Espagne compte encourager les potentiels migrants à suivre les canaux réels. Mieux, l'Espagne compte élargir les droits de sécurité sociale des citoyens sénégalais résidant légalement en Espagne.

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LE QUOTIDIEN

Après avoir effectué des analyses sur l'eau de mer, le gant de manipulation d'un pêcheur et les poissons, le Centre régional de recherches en écotoxicologie et sécurité environnementale a suggéré de soumettre ces résultats d'analyse aux toxicologues et d'orienter les recherches vers les filets utilisés par des pêcheurs. Ledit centre, commis pour assurer l'analyse de l'eau de mer suite à l'apparition d'une maladie mystérieuse chez les pêcheurs, informe que les résultats établissent que la source de la pollution n'est pas les Hap (16 congénères), les Pcb indicateurs, les pesticides toutes familles confondues, les résidus de médicaments. Depuis plus d'une semaine, plus de 400 personnes, principalement des pêcheurs, sont touchées par cette maladie qui se manifeste par des boutons sur la peau touchant le visage, et parfois même les parties intimes.

Written by Léo Gustave

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