Ibrahima Cissé Bacongo a pris part à la cérémonie d'hommage au Président Ouattara ainsi qu'aux 49 soldats ivoiriens rentrés du Mali après leur libération.
Le ministre Touré Mamadou représentant quant à lui, le ministre d'Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, a salué la sérénité du peuple ivoirien à l'image de son chef, face à cette situation de détention des soldats ivoiriens au Mali. « Le peuple ivoirien a été à l'image du Président, je vous exhorte à continuer à faire confiance à Alassane Ouattara », a-t-il indiqué.
Tout comme lui, le secrétaire exécutif du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Ibrahima Cissé Bacongo, s'est félicité de ce que « la Côte d'Ivoire doit au président de la République, d'avoir gagné une guerre sans l'avoir menée ». Selon lui, le chef de l'Etat demeure le plus fidèle des disciples de Félix Houphouët-Boigny, pour avoir « démontré que le dialogue est une arme redoutable ».
Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'Guessan, a salué l'attitude digne et responsable des Ivoiriens dans le dénouement de cette crise. « L'évènement qui nous rassemble aujourd'hui dépasse le cadre des partis politiques (…). Nous sommes là pour dire que là où commence l'intérêt de la Côte d'Ivoire, s'arrête l'intérêt des partis politiques, l'intérêt partisan (…) », a-t-il déclaré.
Les mouvements de soutien à la libération des 49 soldats ivoiriens détenus au Mali, notamment le Collectif national pour le sursaut (CONASU), JE SUIS 49 et Alliance de la jeunesse ivoirienne (AJI), ont de nouveau salué le retour en Côte d'Ivoire de ces soldats. Des motions de soutien et de remerciement ont été prononcés à l'endroit de l'ONU, de la CEDEAO, du président togolais Faure Gnassingbé, du président Alassane Ouattara.
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Les 46 soldats ivoiriens détenus au Mali depuis six mois sont rentrés dans la nuit du 7 au 8 janvier 2023 à Abidjan, accueillis par le président Alassane Ouattara lors d'une cérémonie en présence de leurs familles et de l'armée nationale. En mission de paix pour les Nations Unies, ils avaient été arrêtés le 10 juillet 2022 à l'aéroport de Bamako qui les ont accusés d'être des « mercenaires ». Allégation réfutée par la Côte d'Ivoire et le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
