Dans sa chronique de ce lundi 14 février 2022, Jean Bonin, ex-vice président du FPI, salue le travail du Directeur Général de l’aéroport FHB d’Abidjan.
En 1996, j’ai élaboré et négocié pour le compte du Gouvernement ivoirien le contrat de développement et de modernisation de l’aéroport FHB d’Abidjan.
À cette époque, le trafic s’établissait autour d’un (1) million de passager par an et les vols vers les États Unis n’étaient pas autorisés en raison de la défaillance du dispositif sécuritaire mis en place par les autorités.
Suite à la l’obtention le 10 avril 2015 de la certification TSA (Transportation Security Administration) pour l’Aéroport FHB, qui autorise désormais les vols directs de la Côte d’Ivoire vers les États-Unis, c’est désormais chose faite. Un grand soulagement pour les commerçants, les hommes d’affaires et les vacanciers qui ne devront plus désormais transiter par Accra et où Dakar.
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Je suis aujourd’hui particulièrement FIER des ambitions que l’Etat de Côte d’Ivoire nourrit pour le repositionnement international de cet aéroport qui est en passe de devenir un hub sous régional. Je suis également FIER de constater que sous la houlette de son actuel Directeur Général, un (des rares) ivoirien diplômé de sup aéro Toulouse, ce aéroport aurait largement dépassé les 2,5 millions de voyageurs, n’eut été la crise du Covid-19.
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Il est en effet important de noter que depuis 1996 l’aéroport d’Abidjan a toujours été dirigé par un français. C’est donc aussi un grand motif de satisfaction de voir que sous la houlette d’un ivoirien, qui le dirige depuis 2 ans, notre aéroport s’apprête à devenir une référence internationale avec des investissements pharaoniques qui y sont prévus.
