Serges Kassy a réagi aux informations qui tendent à faire croire qu'Affi N'Guessan, président du FPI, aurait déclaré que Gbagbo serait “inéligible ».
Les supportes d'Affi, et leurs suppôts, s'accrochaient sur cette hérésie juridique, pour justifier sa non-candidature par le Conseil constitutionnel, et voir leur traître de mentor, être seul dans l'imposture du nom fpi à la présidentielle.
De quoi s'agit-il en vérité,pour ceux qui ne le savent pas,où qui feignent de ne pas le savoir,nous sommes en pleine crise post électoral, janvier 2011, la France décide de fermer toutes les banques du pays, en collaboration avec les institutions bancaires présentes dans notre pays, pour asphyxier au plan économique le régime du président Gbagbo, au point de ne plus pouvoir payer le salaire des fonctionnaires,qui créera une révolte des ivoiriens, devant cette position de guerre déclarée ,le gouvernement ivoirien, en conseil des ministres, contre-attaque,en décidant de nationaliser,toutes banques fermées, à partir de ce moment,toutes ces banques devenait une propriété de l'état ivoirien,dès cet instant,l'état ivoirien pour payer ses fonctionnaires,mis en place un système de réouverture de ses banques,y compris la bceao,avec l'accord de tous les ivoiriens qui y travaillaient.
Sous la houlette du jeune ministre du budget, Koné Katinan, l'opération fut une réussite totale, et toutes les banques ont fonctionné de manière manuelle, déjouant toute opération informatique de l'adversaire français ,et ses sbires qui n'avait que leurs yeux pour pleurer, car par son génie,et avec une équipe à la hauteur de la compétence,Laurent Gbagbo venait déjouer et mettre à nu l'attaque financière de la France et ses acolytes.
Voici la fin du mois qui arrive,les banques ouvertes et nationalisées,recommencent à fonctionner, sans l'aval de la bceao centrale logée à Dakar via Paris, les ivoiriens se ruent donc vers leurs banques rouvertes,pour le retrait de leur argent,les fonctionnaires sont payés, au passage, Ouattara, depuis son retrait à l'hôtel du golf, reçoit lui, et tous les rebelles planqués dans ce site leur salaire.
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Après l'arrestation du pour Gbagbo, après le coup d'état de Dramane, et la prise de contrôle de la bceao par Paris, l'audit fait,par la bceao après naturalisation,déclare, que l'état de cote d'ivoire, n'a utilisé que la part qui lui revenait chaque mois pour payer les salaires de ces fonctionnaires. C4est de cette ouverture, de la bceao, qu' aujourd'hui, Dramane parle de braquage,en poursuivant le président Gbagbo, le ministre Kone Katinan, et feu désiré Dallo anciennement ministre des Finances.pourtant en recevant son salaire de braquage soi-disant, Dramane n'a pas jusqu'aujourd'hui, retourné cet argent de ce braquage soit disant à la bceao d'un montant de 5 millions,qu' il touchait en tant qu' ancien premier ministre,que le président Gbagbo lui donnât chaque fin de mois.
Voici chers fans et amis l'histoire du braquage de la bceao dont parle Affi N'guessan et ses sbires, pour justifier leur forfaiture, quant à sa présence aux élections 2020, et surtout dramane, qui pense lui aussi s'appuyer sur ce braquage juridique pour avec, son conseil constitutionnel, déclaré Gbagbo inéligible dans cette course à la présidence, c'est en ce moment-là, les ivoiriens dans le ensemble, diront à Dramane et à tous ses sbires ceux déclarés, et non déclarés QUI A MIS L'EAU DANS COCO, et qui appartient la Côte d'Ivoire.
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En entendant s'est bientôt muni de son passeport ordinaire que le président Gbagbo,rentrera par vol régulier depuis Bruxelles en août prochain ,dans son pays.
Chers Ivoiriens et Ivoiriennes, tous derrière le Front populaire ivoirien, pour aller massivement à l'aéroport d'Abidjan,recevoir le fils du pays ,le Woody de mama, notre leader, notre référent, la pierre angulaire rejetée, le président Laurent Gbagbo, foulant le sol de son pays la Côte d'Ivoire, après 10 ans de déportation.