Dans sa chronique de ce jeudi 14 octobre 2021, Fernand Dédeh, fait une analyse de la « guerre » en Danho et Amichia au sujet de la COCAN 2023.
Le Blanc de la Mé, JPA, a reçu séparément, ce mercredi 13 octobre 2021, en fin d’après-midi, « Le Jesuite révolté de Bassam-Treichville » et « l’Enfant d’Attecoubé ». Un œil aussi dans le Guemon. Une attaque armée a fait deux morts, un gendarme et un agent des Eaux-Forêts. Des questions sans réponses pour l’instant…
Les Ivoiriens commencent toujours par montrer les muscles avant de s’asseoir et discuter. Et même regarder les textes. Puis les appliquer… Le COCAN divise. Deux ministres se battent sur la place publique. Chacun, sûr de ses arguments et de ses positions. Et puis, le premier des ministres les reçoit et les départage. Application des textes qui régissent l’organisation. Là où il aurait fallu commencer. Et puis, c’est fini. Malheureusement, les paroles gênantes ou blessantes ont été prononcées. Et comme la parole est aussi tranchante qu’un coutelas, elle laisse des traces.
Finalement, JPA a réussi à mettre la balle au centre. Le COCAN va faire ses propositions et le ministère des Sports va prendre l’arrêté.
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L’application des textes des institutions ou des structures, un vrai problème de gestion. Toi-même, regarde ton Camarade. Lui seul, il a décidé de modifier la Constitution, il l’a amendée. Il a introduit un poste de vice-président. Depuis, nous sommes là. Les députés et sénateurs qui ont voté le texte et qui en sont les gardiens, motus et bouche cousue.
Le Conseil constitutionnel? Le patron de l’institution dit que « ceux qui n’ont pour tout diplôme que leur acte de naissance », doivent quitter dans son affaire. L’Opposition? Elle contourne les pierres sur son chemin… La société civile? Elle est où? Les journalistes? Ils sont là…
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Toi-même regarde cette affaire des incompatibilités à l’Assemblée nationale. Des gens savent que leurs fonctions sont incompatibles avec le mandat parlementaire mais sont quand même candidats et élus députés. Le président de la chambre basse du parlement leur demande de faire un choix, kô « pourquoi il fait ça à la tête du client »? Ou « pourquoi il nous expose »? Ou « l’ancien président de l’assemblée nationale faisait ça discrètement ». Toujours les petits arrangements avec les textes.
