« Je ne peux pas continuer à être l'esclave de quelqu'un, » a déclaré Petit Denis qui s'explique sur son agression en France, le promoteur ivoirien Dao.
« D'abord je tiens à préciser que Dao m'a fait venir en bingue (Europe) sur la base d'un « deal ». C'est-à-dire que je ferai une série de spectacle pour lui rembourser son investissement sur moi et il avait l'habitude de le faire. Mais cette fois-ci j'en avais marre vu que j'avais compris le deal.
Le deal était qu'il me fasse prester pour qu'il fasse 50/50 avec moi sur les différents cachet. Donc j'avais un spectacle sur Toulouse organisé par Alain Guédé de Toulouse. Il m'a dit que le cachet était de 1000€ et j'ai dit ok je vais aller jouer pour mes 500€ vu que nous faisons moitié moitié et compter sur les travaillement. Mais malheur pour lui, c'est Landry Agban qui devrait me remettre l'argent. Landry me tend 1500€ puisqu'il n'avait pas l'information au préalable qu'il devait me remettre 1000€ et caller les 500€ pour Dao comme le faisaient les autres. J'ai pris et j'ai remis les 500€ à la personne à qui il m'a dit de les remettre.
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Lorsqu'il a appris cela, il a commencé m'insulter et me menacer au téléphone en me disant que je le prends pour un idiot… Que je pense qu'il m'a fait venir en Europe pour un plaisir… Que je n'ai pas encore fini de rembourser son argent…
Pourtant le nombre de spectacles pour lesquels on a fait le deal est passé depuis. Je ne pouvais pas me plaindre parce qu'il a bloqué mon passeport..
Donc je rentre sur Paris et je vois Dao chez moi qui commence à lutter avec moi. Met ses mains dans mes poches pour tenter de prendre mon argent vu qu'il savait que je revenais de Toulouse. Je ne me suis pas laissé faire et je me suis défendu. Il m'a blessé et a pris mon argent pour s'en fuir sur Abidjan où il se cache actuellement toujours avec mon passeport en sa possession.
Je ne voulais pas que cette histoire arrive sur les réseaux sociaux, mais j'ignore comment ça fuité. Moi j'ai mes charges, ma famille à prendre en charge et je ne peux pas continuer à être l'esclave de quelqu'un pour qui j'ai fini de rembourser ma dette en ce 21è siècle là. »
