Arrêt de la cour africaine dans l’affaire Soro : « ça veut dire en français simple que l’Etat de Côte d’Ivoire n’a pas le choix

Comment comprendre la décision de la Cour Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples (CADHP) dans l'affaire Guillaume Soro.

« Voilà qui est bien clair. La décision de la Cour africaine des droits de l'homme est insusceptible de recours. Ça veut dire en français simple qu'il n'y a pas de recours possible à cette décision selon les textes qui régissent la Cour.

Ça veut dire que cette décision s'impose à l'Etat de Côte d'Ivoire. Si il refuse de s'y soumettre, il ouvrira la voie à toute forme de contestation sans que la communauté internationale ne réagisse. Les gars, ne poussez pas votre môgô là à la honte et à l'humiliation » a déclaré le pro-Soro, le professeur Mamadou Traoré.

LIRE AUSSI: Pourquoi l'OMS a-t-elle tardé avant de déclarer le Covid-19 comme une urgence sanitaire mondiale ?

Pour rappel, la Cour africaine des droits de l'Homme et des Peuples, institution de l' basée à Arusha en , qui avait été saisie début mars par et ses proches, « ordonne à l'Etat défendeur (la Côte d'Ivoire) de surseoir à l'exécution du mandat d'arrêt contre Guillaume Soro », dans un arrêt publié le mercredi 22 avril 2020.

Written by Hind Talha

Adjoumani : pourquoi quand c’est Gon qui fait des dons contre Covid-19 cela soulève des émeutes de l’opposition ?

Coronavirus : le bilan Afrique de l’Ouest ce vendredi 24 avril 2020, le Ghana et la Côte d’Ivoire les pays les plus touchés