« Quel résultat probant en matière de ressources animales en Côte d'Ivoire ? », s'interroge un Ivoirien qui poses des questions rhétoriques au ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, chargé du département des Ressources animales et halieutiques.
En toute franchise, je voudrais dire bravo, vraiment dire toutes mes félicitations à mon grand frère et ancien patron, le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani. Aujourd' hui j'ai pris le temps de l'écouter attentivement, lors de sa conférence de presse.
Je dois avouer qu'il m'a absolument impressionné. Certes de 2000 jusqu'à 2005, où j'ai appris à le connaître, il m'a souvent été donné de le voir jouer la comédie, de théâtraliser même ses interventions, lors de manifestations officielles.
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Mais, aujourd'hui je viens de comprendre que les présidents Bédié, Gbagbo et Ouattara, se sont lourdement mépris sur les immenses qualités et potentialités de cet homme pour qui, tout est spectacles, à l'image d'un acteur qui attend son rôle pour l'exécuter, chaque fois que la troupe de théâtre doit prester. Mais trêve de comédie de notre part, regardons au fond de l'histoire.
Questions rhétoriques au ministre Adjoumani
J'aimerais poser ces questions rhétoriques: depuis lors, quel résultat probant avons-nous eu en matière de Ressources animales et halieutiques. Qu'a gagné la Côte d'Ivoire depuis qu'Adjoumani occupe le poste de ministre des ressources animales et halieutiques ?
Pourquoi continuons-nous d'importer du poisson et de la viande ? Et d'ailleurs, pourquoi ces denrées sont de jour en jour, si chères ? Quid de la dépendance des Ivoiriens vis à vis du Burkina, du Mali et du Niger, en protéine animale ? Pourquoi l'activité de la pêche n'est pas dominée par de jeunes Ivoiriens de plus en plus frappés par le chômage ? Pourquoi continue-t-on d'importer des quantités énormes de viande surgelée de tout genre ?
Sur chaque kg de viande importé, des taxes sont perçues
Le ministre Adjoumani semble-t-il s'en préoccuper plus que de son mouvement « Sur les traces d'Houphouët-Boigny ? » Espérons-le, puisque sur chaque kg de viande importé, des taxes sont perçues, dont les agents du ministère dénoncent l'utilisation qui en est faite, depuis.
JKN
