Suites aux explosions survenues à Beyrouth, le Ghana a décidé d'évacuer ses ressortissants bloqués au Liban, après ce drame.
Le gouvernement ghanéen va évacuer dans les prochains jours 1.500 de ses ressortissants bloqués au Liban à la suite des explosions meurtrières dans la capitale Beyrouth, a annoncé le vice-ministre des Affaires étrangères et de l'Intégration régionale Charles Owiredu.
Il a déclaré que le nombre était passé de 2.000 à 1.500 parce que le gouvernement a déjà facilité le retour de 500 personnes.
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« Nous accélérons le processus car certains Ghanéens ont été blessés dans l'explosion », a précisé M. Owiredu, ajoutant que 308 des Ghanéens bloqués arriveront ce mercredi et 308 autres le lendemain.
Le vice-ministre a néanmoins indiqué qu'aucun des Ghanéens blessés n'avait été défiguré par l'explosion.
Le député ghanéen Kennedy Agyapong et plusieurs philanthropes ont fait don d'un total de 428.650 dollars au gouvernement pour faciliter l'évacuation des Ghanéens bloqués à Beyrouth.
A leur arrivée, ces ressortissants devront se soumettre à une quarantaine obligatoire de 14 jours pour identifier, isoler et soigner toute personne qui serait infectée par le COVID-19.
