Laurent Gbagbo. Comment ne pas aimer cet homme qui connaît son peuple et qui l'aime au point de sacrifier sa vie pour le bien de ce peuple?
Comment ne pas aimer ce leader panafricaniste qui nourrit un grand rêve de liberté et de prospérité pour la Côte d'Ivoire et pour le continent africain? Comment ne pas aimer cet homme qui a une vision pour son pays et une conviction inébranlable pour ses idéaux largement partagés par ses concitoyens et à l'extérieur des frontières de la Côte d'Ivoire ?
Comment ne pas aimer cet homme politique qui est demeuré constant dans la lutte pour la dignité des Ivoiriens et du peuple africain depuis plus de 50 ans ? Enfin, comment ne pas aimer ce Président qui a démontré avec brio lors de son passage au pouvoir de 2000 à 2011 que la Côte d'Ivoire peut et doit compter sur elle-même pour sortir du sous-développement grâce à une bonne gestion de ses propres ressources sans forcément s'endetter de jour comme de nuit au point de devenir un pays pauvre surendetté? Ceux qui n'aiment pas Laurent Gbagbo sont tout simplement des sorciers, car au village, les sorciers n'aiment pas leur bienfaiteur.
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Ils le bouffent par méchanceté. Mais aucun sorcier ne réussira à bouffer Gbagbo parce que justement il s'appelle Gbagbo, un homme qui aime la vérité et qui a Dieu dans son cœur. Quand il était au pouvoir, malgré la rébellion qui avait coupé le pays en deux, les Ivoiriens mangeaient à leur faim, se soignaient convenablement, Trouvaient du travail, scolarisaient leurs enfants, vendaient leurs productions agricoles à de meilleurs prix et ne souffraient pas comme aujourd'hui de la cherté des denrées de première nécessité sur les marchés.
Aimer Gbagbo c'est donc choisir entre la compétence gouvernementale et la propagande politique vide, c'est choisir entre l'amour du dirigeant pour son peuple et la soif de pouvoir qui fait multiplier les mandats présidentiels à l'infini, c'est opérer un choix entre servir le peuple et se servir du peuple, c'est choisir la liberté à la place de la prison à ciel ouvert, c'est choisir entre la démocratie et la dictature rampante, c'est comprendre que le développement se fait au profit des populations et non contre les populations à travers un endettement appauvrissant et la cherté de la vie. Aimer Laurent Gbagbo c'est donner un avenir fructueux à la jeunesse ivoirienne qui périt sur les chemins dangereux de la migration vers l'Europe ou qui vieillit désargentée dans un chômage explicable dans un pays qui a pourtant tout pour créer des emplois, mais qui passe tout son temps à construire des ponts.
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Jeunesse ivoirienne combattante, il ne te reste plus qu'à rejoindre Laurent Gbagbo et son parti le PPA-CI le 1er avril 2023 au Palais de la Culture à Treichville pour tracer les sillons d'un avenir prometteur, car bientôt il va faire jour en Côte d'Ivoire. Prends la place qui te revient dans la construction de la nouvelle nation ivoirienne qui verra le jour sous peu, en partageant avec Laurent Gbagbo ta vision pour un développement au bénéfice de toutes et de tous.
Là où il y a eu un soir, il y aura un matin et un nouveau soleil pour chasser les ombres hideuses de la nuit. Haut les cœurs, on y va ! Honorable Traoré Mamadou GOR
