L'Union interparlementaire (UIP) félicite Ouattara pour la libération des parlementaires poursuivis devant la Justice ivoirienne mais maintient la pression pour le cas de Guillaume Soro.
Un mot de politique avec la décision du conseil directeur de l'Union interparlementaire. Décision arrêtée « par consensus » lors de la 210 ème session, à Kigali, le 15 octobre 2022.
L'UIP était très préoccupée par le sort de plusieurs députés et sénateurs ivoiriens poursuivis en Côte d'Ivoire. Décembre 2019, après le retour manqué au pays de l'ancien président de l'Assemblée nationale, des parlementaires proches de ce dernier avaient été arrêtés. Le Twitto convulsif était au nombre de ceux-ci.
En novembre 2020, après la présidentielle mouvementée, des parlementaires proches du vieux parti avaient été incarcérés.
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« L'UIP se réjouit qu'à ce stade tous les députés aient été libérés ; et salue à cet égard les efforts consentis par les autorités ivoiriennes, en particulier la mise en œuvre d'une politique d'apaisement et de réconciliation qui a abouti à la libération de tous les députés. ».
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L'Union interparlementaire demeure cependant active sur la situation « du fils égaré » de ton Camarade. « et souhaite examiner les décisions de justice le concernant qui lui ont été remises par la délégation ivoirienne lors de son audition du 12 octobre 2022 avant de se prononcer sur sa situation. ».
