PPA-CI : le parti de Gbagbo et ses soutiens

Le 28 janvier 2023 à l'Université de Cocody s'est tenue une conférence du Réseau des Juristes Privatistes de Côte d'Ivoire avec le PPA-CI.

Invité à animer une conférence à cette occasion sur l'insertion professionnelle des jeunes, le était représenté par son SGA chargé du recrutement et de l'encadrement des nouveaux majeurs, .

C'est en présence de leurs familles, qu'à cette tribune, le SGA Blaise Lasm n'a pas manqué de marquer son admiration aux heureux diplômés en ces termes:

« 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝐿𝑎𝑠𝑚 𝐵𝑙𝑎𝑖𝑠𝑒, 𝑒𝑥 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑈𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́ 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑖𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑆𝑒𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐺𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙 𝐴𝑑𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑃𝑃𝐴-𝐶𝐼, 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́ 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑆𝑜𝑛 𝐸𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝐿𝑎𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝐺𝑏𝑎𝑔𝑏𝑜, 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑐𝑖.

𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑃𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝐸𝑥𝑒𝑐𝑢𝑡𝑖𝑓 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐻𝑢𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑂𝑢𝑙𝑎𝑦𝑒, 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑃𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐷𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑧. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠, 𝑝𝑎𝑟 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑆𝑒𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐺𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙 𝐷𝑎𝑚𝑎𝑛𝑎 𝐴𝑑𝑖𝑎 𝑃𝑖𝑐𝑘𝑎𝑠𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝐽𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.

𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑐 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑣𝑜𝑢𝑠, 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑗𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡 (100) 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑙'𝑎𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑠𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑎𝑏𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑣𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑞𝑢𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑛𝑑𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒́, 𝑙𝑎 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑚𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑏𝑢𝑧𝑧 ; 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒-𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑛𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥.

𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑠 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑒𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑒́𝑑𝑎𝑔𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝐸𝑡𝑎𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́. 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙'𝐸𝑡𝑎𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑖𝑙 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑓 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑝𝑙𝑜̂𝑚𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑙𝑡𝑒𝑛𝑡.

𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑠 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑟𝑒́𝑓𝑙𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑟 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑑𝑒́𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙'𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠.

𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟𝑛𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑝𝑙𝑜̂𝑚𝑒́𝑠 𝑒𝑛 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑜̂𝑚𝑎𝑔𝑒, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑅𝑒𝑣𝑢𝑒 𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝐸́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐺𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛(𝑅𝐼𝑆𝐸𝐺 ), 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 25%, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑒́𝑒 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 55 𝑚𝑜𝑖𝑠, 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 . 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑐̧𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑛𝑜𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́𝑠. 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 28 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑'ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑖𝑙 𝑦'𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 1000 𝑎𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡𝑠 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑖𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 300 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑖𝑡 1 𝑎𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 28.000 𝑖𝑣𝑜𝑖𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 1 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 93.000 𝑖𝑣𝑜𝑖𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠.

𝐶𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑖𝑔𝑒𝑟, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑟𝑢𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑝𝑎𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑜𝑝𝑝𝑒́, 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑎𝑚𝑒𝑛 𝑑𝑢 𝐶𝐴𝑃𝐴 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑈𝐸𝑀𝑂𝐴 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑛𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.

𝐿'𝐸𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠'𝑦 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑑𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑒𝑛 𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑐𝑟𝑢𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥𝑖𝑙𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑐𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑎𝑘𝑒, 𝑀𝑎𝑛 𝑒𝑡 𝐷𝑎𝑙𝑜𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠.

𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑒 𝑙'𝐸𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑒 2023 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐽𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖 𝑑'𝑎𝑐𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠, 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑑'𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠, 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑝𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑖𝑝𝑙𝑜̂𝑚𝑒́𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑗𝑢𝑔𝑢𝑙𝑒́𝑒…»

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Pour clore son propos, le SGA Lasm Blaise a, de nouveau, félicité les récipiendaires, et demandé, à travers eux, à toute la jeunesse ivoirienne de ne ni se décourager, ni désespérer mais de s'adapter et d'améliorer leur compétitivité, par l'acquisition de compétences additives notamment par la maîtrise de l'anglais, et l'outil informatique qui sont des atouts dans un monde en perpétuelle mutation.

Il a ensuite invité les étudiants juristes de Côte d'ivoire, et en particulier ceux de l'UFR Félix Houphouët-Boigny qui sont 12.000 inscrits, à s'orienter vers des nouveaux curricula qui cumulés à leur formation initiale, pourront faciliter leur intégration dans le monde professionnel.

Pour le reste, il a rappelé l'origine du chômage en Côte d'ivoire, en démontrant comment du plein emploi en 1960, nous avons, suite aux mauvais choix économiques, abouti à un endettement massif. Cet endettement a induit la mise en place de Programmes d'Ajustements Structurels, avec pour corollaire l'accroissement du chômage suite à la liquidation et la privatisation de certaines entreprises d'Etat.

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Il a enfin recommandé, en présence de Me Bertin Zehouri, Notaire – Parrain de la Cérémonie , aux étudiants de s'impliquer activement dans le débat civique et politique afin d'influencer les décisions gouvernementales.

La cérémonie a pris fin par la remise des parchemins par les différents invités et Me Jean Louis Lobe, Formateur en Chef du Certificat de la Pratique de Droit.

Written by Hind Talha

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