Côte d’Ivoire: Inauguration à Korhogo d’une deuxième école de police baptisée Amadou Gon Coulibaly

Une 2è école de police ivoirienne baptisée Amadou Gon Coulibaly a été inaugurée, vendredi 24 juillet 2020, à Korhogo par le ministre de la Sécurité et de la protection civile, Vagondo Diomandé.

Baptisée Ecole de Amadou , en hommage à feu le Premier ministre qui avait porté le projet à bout de bras, elle accueille ses premiers pensionnaires, environ 1400, lundi, soit dans trois jours, a annoncé le général Vagondo.

LIRE AUSSI: Pourquoi le ministre Vagondo réduit les pouvoirs de Youssouf Kouyaté, DG de la police de Côte d'Ivoire ?

L'établissement ouvre sur site provisoire qu'il partage avec le Groupement d'intervention mobile (), en attendant la construction de ses propres bâtiments et installations sur un site de 15 hectares qui lui a été attribué à titre définitif à Kapélé, un village de la commune de .

L'Ecole de police est placée sous le commandement du commissaire divisionnaire de police Touré Kouakou, anciennement commandant de l'école de police d', présenté comme un homme d'expérience, capable de relever tous les défis liés à son démarrage.

LIRE AUSSI: Passation de charges entre Sidiki Diakité et Vagondo Diomandé

Le ministre Vagondo lui a confié la mission de former des policiers « exemplaires » et « républicains » en phase avec la population, conformément à sa vision de la nouvelle police ivoirienne.

La construction de deux écoles de police à Korhogo et à est prévue dans la loi de programmation militaire pour la période 2016-2020, a rappelé le général Vagondo, non sans souligner la forte contribution de l'ex-Premier ministre à la réalisation effective du projet pour ce qui est du cas de Korhogo.

LIRE AUSSI: Candidature de Ouattara à un troisième mandat : Délégués, structures spécialisées et enseignants Rhdp rajoutent à la pression

La famille Gon Coulibaly a offert un appui financier de 5.000.000 de francs CFA à l'école.

Written by Tristan Sahi

Affaire 800 000 personnes enrôlées par le RHDP : Guikahué réagit, « Bictogo, c’est mon ami mais, il parle trop »

Une pro-Gbagbo répond à Kandia : « pourquoi après vous, toi, tu veux qu’il y ait un groupe qui vienne se venger ? »