Roger Banchi, proche de Soro, a apporté une réponse à Bictogo suite à sa sortie relative au 1er mandat de la 3è République de Ouattara.
Invité à la rentrée politique de la JUNCI, le 19 septembre 2021, Adama Bictogo avait laissé entendre que Ouattara n'était qu'a son 1er mandat de la 3e République.
«Je voudrais saluer les deux initiateurs de cette cérémonie, Abdoul Kader et Boubakar Ouattara. Félicitations à vous parce que quand la jeunesse consciente, responsable rend hommage à Alassane Ouattara, nous vos grands frères, nous devons être là et nous sommes avec vous. Et c'est ensemble que nous allons porter Alassane Ouattara jusqu'à ce que, jusqu'à ce que (…), parce qu'on entend, on entend (…). Mais, Alassane Ouattara n'est qu'au son premier mandat de la troisième République » a déclaré Adama Bictogo.
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Des propos du directeur exécutif du RHDP (Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix), qui ont vite faire réagir Roger Banchi, proche de Guillaume Soro.
« Adama papa na agitation du bras tendu…le meilleur gars du RHDP c'est Adama Champion. Il a un Wé (une attitude, NDLR) dans ses meetings où il tend son bras on dirait Hitler et puis il agite ça de haut en bas frénétiquement ! Quand je vois ça, je commence à rire », a-t-il répondu sur Twitter.
« Il a traumatisé le grand frère Marcel avec ce Wé là maintenant c'est nous il veut traumatiser avec quatrième mandat champion tu vas te traumatiser tout seul ! Et continue à nous faire rire conhan surtout ! », a ironisé Roger Banchi.
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Depuis quelques jours, le débat récurrent sur la limite d'âge des candidats à la présidentielle revient sur le devant de la scène politique. Dans un pays ou 78% de la population a moins de 35 ans, les trois mêmes leaders occupent le devant de la scène depuis trois décennies : Alassane Ouattara, 79 ans, Henri Konan Bedié, 87 ans et Laurent Gbagbo, 76 ans.
C'est le député-maire de Tiassalé, Assalé Tiémoko, qui a relancé le débat par un post Facebook intitulé « l'âge de la retraite politique ». Dans ce court texte, il affirme qu'« à l'ouverture de la session parlementaire d'avril 2022 », il proposera de restaurer la limite d'âge pour les candidats à la présidentielle à 75 ans. Relançant ainsi le débat et assure que la question sera soumise au Parlement en 2022. Le plafond de 75 ans prévu dans la Constitution de 2000 avait été retiré dans celle de 2016.
