Ferro Bally a donné sa position dans l'affaire du maillot des Éléphants de Côte d'Ivoire qui fait le tour des réseaux sociaux.
C'est Yacine Idriss Diallo, le nouveau président de la FIF, qui fait le buzz. En deux conférences de presse, et faute d'un bon coaching en communication, il a mis tout le monde ou presque d'accord sur les défauts de ses qualités: mépris, condescendance, agressivité et suffisance.
Idriss Diallo démarre son mandat sous le sceau des confrontations. Avec lui, le nouveau comité exécutif de la FIF peine aussi à solder les épisodes de la campagne pour les présidentielles.
Et, constamment sur la défensive, il cherche davantage à régler des comptes qu'autres choses, à tous ceux qui pensent autrement et qui sont systématiquement assimilés à des trouble-fêtes, soupçonnés d'empêcher de tourner en rond.
Or, depuis le 23 avril, Idriss Diallo est à la tête de la Fédération. Et au lieu de « Rassembler pour développer le football ivoirien », son beau slogan de campagne, il se conduit, non comme un fédérateur, c'est-à-dire un dirigeant humble et conciliant au-dessus de la mêlée, mais comme un belligérant.
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Malheureusement, dans cette posture de va-t'en-guerre que certains de ses partisans se plaisent à adopter, il accroît, chaque jour un peu plus et par ses sorties catastrophiques, les divisions autour des importants enjeux de notre football.