Le rapport de Human Rights Watch met en lumière les graves violations des droits humains commises par les forces armées maliennes au Mali.
Ces violations, qui comprennent des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées et des tortures, sont d'une extrême gravité et doivent être condamnées sans réserve.
Le rapport souligne que les forces armées maliennes ont commis ces violations de manière systématique et généralisée. Les témoignages recueillis par Human Rights Watch indiquent que les victimes sont souvent des civils non armés, arrêtés ou interpellés sans raison apparente. Elles sont ensuite torturées ou exécutées, parfois devant leurs familles.
Le rapport dénonce également l'impunité qui règne au Mali pour ces crimes. Les auteurs des violations ne sont jamais punis, ce qui encourage leur répétition.
Le rapport de Human Rights Watch est un appel à la communauté internationale pour qu'elle prenne des mesures urgentes pour mettre fin aux violations des droits humains au Mali. La Cour pénale internationale (CPI) doit être saisie de ces crimes et les auteurs doivent être traduits en justice.
Le rapport ne mentionne pas le cas de l'État islamique au Sahel (EIS), qui est un autre groupe armé responsable de graves violations des droits humains au Mali. L'EIS est responsable de nombreux massacres de civils, notamment dans les régions de Ménaka et de Gao.
La situation sécuritaire au Mali est extrêmement préoccupante. Les violations des droits humains sont commises par tous les acteurs du conflit, y compris les forces armées maliennes, les groupes djihadistes et les groupes armés non étatiques.
La communauté internationale doit redoubler d'efforts pour mettre fin à ce conflit et garantir la protection des civils.
