Dans sa chronique de ce mardi 15 mars 2022, Fernand Dédeh revient sur la crise à la FIF et le rôle de Jacques Anouma.
Optimisme dans l'entourage de Henry Kissinger de l'espace sportif ivoirien. Jacques Anouma, l'ancien président de la fédération ivoirienne de football et membre d'honneur de la faîtière a pris ses responsabilités pour écouter les acteurs du football ivoirien, échanger avec eux et surtout les convaincre à aller à l'essentiel. Tour de table achevé. « Ils ont raison de se fâcher. Mais après, il faut avancer. Il faut sortir de l'impasse. ».
Selon mes informations, les esprits se calment. Un des potentiels candidats tenaient absolument à faire noter que l'article 47, visé par la FIFA et la CAF n'est pas nouveau. Il figure dans les textes depuis longtemps et a été validé en son temps, par la fédération internationale elle-même.
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« Il ne vise personne en particulier. Moi, je suis même favorable a l'annulation des parrainages, au besoin. Mais nous devons sortir de la crise et installer une nouvelle gouvernance à la tête de la fédération ».
La porte est bien ouverte. Le comité de normalisation peut surfer sur le vent favorable. Elle reçoit les potentiels candidats ce mardi 15 mars 2022. La présidente MDG sait que le prix de son kilo d'amour a chuté dans les cœurs des acteurs du football national. La confiance aveugle que lui accordaient les dirigeants de clubs a pris du plomb dans l'aile. Ça s'appelle « fin de l'état de grâce » pour elle et son comité.
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Les discours ne suffiront plus. Aux actes ! Même la présence du secrétaire général de la CAF à Abidjan ne peut être une caution pour le retour en grâce.
