Claudy Siar exprime son désaccord avec la politique française en faveur d'Israël dans le conflit israélo-palestinien.
Il considère que la France devrait être une force de dialogue pour aider à la création d'un État palestinien. Il rappelle que la création de l'État d'Israël en 1948 a été promise aux Palestiniens, mais que celle-ci n'a jamais eu lieu. Il dénonce la colonisation israélienne des territoires palestiniens, qu'il qualifie de crime contre l'humanité.
Siar déplore l'absence de compassion pour les Palestiniens, qu'il considère comme des « damnés de la Terre promise ». Il critique l'Occident, qui ne fait plus semblant de soutenir la paix au Proche-Orient.
Il refuse de choisir un camp dans ce conflit, et appelle à un dialogue entre les deux parties. Il rappelle que les Palestiniens et les Israéliens sont tous des sémites, et qu'ils devraient pouvoir vivre ensemble en paix.
Siar évoque également l'assassinat de Yitzhak Rabin en 1995, qu'il considère comme une perte pour la paix. Il critique la décision du Hamas de lancer des roquettes sur Israël, qui ne fera que compliquer la situation.
Il termine son discours en comparant la situation en Palestine à celle en Ukraine. Il considère que les Palestiniens, comme les Ukrainiens, sont victimes d'une agression.
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Les propos de Claudy Siar sont d'une grande pertinence. Ils rappellent que le conflit israélo-palestinien est un conflit complexe, avec des racines historiques profondes. Il est essentiel de trouver une solution juste et durable, qui permette à tous les habitants de la région de vivre en paix.
