Un élève du primaire âgé de 6 ans, en classe de CP1 à Guiglo a été tué à coups de spatule en bois par sa marâtre K.A., une aide-soignante.
De sources concordantes, enfant hors mariage de son père, celui-ci décide de le recueillir au domicile conjugal. La mère biologique refuse compte tenu de son bas âge. Le père finit par avoir gain de cause et emmène l'enfant avec lui à Guiglo, où il est scolarisé. Mais aussitôt, l'enfant intègre le domicile du père, la marâtre commence à le soumettre à de la maltraitance à longueur de journées, lui faisant subir toutes sortes de brimades et de punitions, à l'insu du géniteur. Pour un oui ou pour un non, elle punit l'innocent bambin, en le privant le plus souvent de nourriture.
Toujours selon ces sources, le jour du drame, fin février 2023, l'aide-soignante, alors que l'enfant, rentré de l'école, s'en remet à elle juste pour réclamer à manger, se met dans une colère bleue, l'assommant violemment avec la spatule en bois (communément appelée bois de placali) dans sa main. L'écolier tombe raid. Evacué d'urgence à l'hôpital, il rend son dernier souffle. Affaibli par des jours de privation de nourriture, affirment ces mêmes sources.
K.A. se trouve à la prison civile de Man, en entendant son jugement, indiquent les mêmes sources. Cette affaire a jeté l'émoi et l'effroi au sein de ses camarades de classe et de sa maîtresse de l'EPP Guiglo 4, souligne-t-on.
A Guiglo, la mort d'une élève de 13 ans, en classe de CM2 à l'EPP 4, s'étant pendue dans la nuit du 09 janvier 2021, au quartier Ancien Guiglo, au domicile familial, suite au refus parental qu'elle célèbre son anniversaire et celle d'un élève de 7 ans, en classe de CP2, dans une école primaire privée, qui s'était pendu dans sa chambre au quartier Camp Manois, le 20 juillet 2020, aux environs de 18h, avaient défrayé la chronique, rappelle-t-on.
