« Donald Trump, comme Cellou Dalein Diallo en 2020 en Guinée ou Jean Ping en 2016 au Gabon »

Le système électoral américain apparaît fragile, vulnérable et imparfait. 2020, bis repetita. C'est au tour du pouvoir Républicain d'être sur les dents.

Trois jours après le vote du mardi 3 novembre 2020, le nom du 46è président des États-Unis d'Amérique n'est toujours pas connu. Au système électoral aussi vieux que le s'ajoutent les bricolages des États africains.

Et alors, au pays de l'Oncle Sam, la est bizarre avec un pouvoir qui crie toujours ou presque au loup et aux manipulations. En novembre 2016, le pouvoir Démocrate de a dénoncé le Russiagate.

Le pays de a été accusé d'avoir interféré pour la victoire de Donald face à Hillary Clinton, ex-première et ancienne secrétaire d'État démocrate. En 2020, bis repetita. C'est au tour du pouvoir Républicain d'être sur les dents.

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, comme en 2020 en ou en 2016 au , a d'abord annoncé sa victoire alors que les décomptes se poursuivent avant de lancer des accusations de en faveur du Démocrate .

C'est le grand paradoxe dans cette forte démocratie. Avec le recomptage des voix en 2000 entre George W. Bush et Al Gore et la victoire contestée et contestable du Républicain, le système électoral américain apparaît fragile, vulnérable et imparfait.

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Mais il ne viendra à l'idée d'aucune organisation ni d'aucun pays de produire un communiqué ou une déclaration pour rappeler les tares et insuffisances de plus en plus criantes d'un système électoral dépassé.

Written by Ferro Bally

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