Cette crise du coronavirus pourra t-elle ouvrir les yeux et l'intelligence des Africains ? Une analyse du littéraire Jean-Claude Djereke.
En 1989, après la désintégration de l'URSS et le renversement des dirigeants communistes en Europe centrale et orientale, les capitalistes et leurs adeptes avaient pensé que c'en était fini du communisme et que seul leur système économique, le capitalisme, pouvait rendre les hommes heureux et libres.
Quoiqu'ayant applaudi la chute de Ceaucescu et de ses semblables, j'étais de ceux qui croyaient que le communisme n'avait pas dit son dernier mot.
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Aujourd'hui, l'humanité découvre les bienfaits de ce communisme, quel que soit ce qu'on peut lui reprocher. Elle y trouve des raisons d'espérer et l'Italie blessée retrouve le sourire, grâce à la solidarité, à la générosité et à la disponibilité de Cuba, de la Chine et de la Russie, 3 pays communistes longtemps diabolisés par l'Occident capitaliste.
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La pierre rejetée par les bâtisseurs est devenue la pierre angulaire, avait prophétisé quelqu'un.
Cette crise du coronavirus doit ouvrir les yeux et l'intelligence des Africains.
